Eugène Rastignac

Eugène de Rastignac Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Eugène de Rastignac Personnage de fiction apparaissant dans La Comédie humaine BalzacOldGoriot02.jpg Rastignac avec Vautrin dans la cour de la pension Vauquer (Le Père Goriot). Origine France Genre Mâle Créé par Honoré de Balzac Roman(s) La Comédie humaine Eugène de Rastignac est un personnage romanesque d'Honoré de Balzac dont les aventures débutent dans le Père Goriot et dont l'évolution

Couture un veuve et sa fille adoptive Victorine Taillefer, l’étudiant Eugène de Rastignac, le Père Goriot et ses deux filles Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud, la Vicomtesse de Bauséant, Poiret et Mlle Michonneau. Je n’est pas ressentie de sentiments particuliers en lisant toute cette première partie car cette partie est surtout basé sur la description de la pension de Mme Vauquier et ensuite sur l’étudiant Eugène de Rastignac qui tente d’apprendre le fonctionnement de la société parisienne

1840 le titre de la Comédie humaine. A partir de 1847, sa santé décline rapidement. Il s’éteint en 1850 à Paris, laissant derrière lui une œuvre colossale. Consulter également le syllabus et les notes de cours pour plus d’informations. Résumé : Rastignac passe par 3 étapes initiatiques : Mme de Beauséant , qui lui apprend le grand monde ; Vautrin, qui lui dévoile la dureté des rapports sociaux et la loi de l’intérêt ; Goriot, qui, par sa mort, lui prouve le danger des passions. La description qui

venant de tous horizons: Mme Vauquer, la propriétaire avare, Mme Couture, veuve, sa fille adoptive, Victorine Taillefer, Vautrin, un forçat évadé; Poiret, Mlle Michonneau, et quelques étudiants, dont Eugène de Rastignac. Après s'être fait congédier de la demeure de la comtesse de Restaud, Eugène de Rastignac prend conseil auprès de sa cousine Mme de Beauséant. Celle-ci l'autorise à utiliser son nom pour se faire valoir, et lui apprend le fonctionnement de la société parisienne: pour réussir, il faut

Devenue la maîtresse d'Eugène de Rastignac, elle s'installe avec lui dans un petit appartement aménagé par le Père Goriot qui pense finir ses jours aux côtés des deux tourtereaux. Les espoirs du vieillard seront déçus. Delphine est tout entière occupée à être reçue chez la vicomtesse de Beauséant, qui règne sur le Tout-Paris, et dont le salon au faubourg Saint-Germain ne s'ouvre qu'aux gens titrés de longue date. Ce qui n'est pas le cas de Delphine. Eugène de Rastignac réussit tout de même à la faire

Paris la 1ère fois lorsqu’il se fait faire des vêtements pour lui grâce à un tailleur et lorsqu’il se ballade dans les rues il est admiré des femmes. Il aime ce sentiment. En 1820 (Epoque du livre, pas d’écriture qui est 1829). Le Bal des Sceaux. Rastignac est banquier auprès du marie de son amante, le Baron de Nucingen. 1821-22 Illusions perdues. (Ecrit de 1836 à 1843) Il est expert en lutte d’influence. Il élimine les gêneurs et se met auprès des « monteurs ». 1822 Le cabinet des Antiques (1837)

Père Goriot. C'est lors de la création de ce roman que l'auteur conçoit son grand projet, La Comédie Humaine, où il se propose d'être historien de la société de son époque. Dans ce roman, un juene étudiant en droit sans fortune, Eugène de Rastignac, vit dans une pension sordide, la maison Vauquer, où il côtoie une faune aussi pauvre qu'électrique. Là, il s'est pris de sympathie pour le Père Goriot, le bouc émissaire des pensionnaires. Après une altercation entre pensionnaire, Vautrin,

viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit à Paris. Il y a également le père Goriot, pitoyable rentier

vouloir accéder aux élites de la société de l'époque (caractérisée par exemple par le faubourg Saint-Germain dont les salons luxueux font rêver le jeune Eugène de Rastignac), sont souvent naïfs et innocents. Ils sont aveuglés par une société qui n'est qu'apparence. Ils croient en eux malgré tout et se sentent quelque peu supérieur aux autres. Eugène est persuadé de son pouvoir de séduction auprès de ces dames du Monde, qui lui témoigne seulement de la sympathie comme le dictent les codes de bienséances

ainsi : « Il avait les épaules larges, le buste bien développé, les muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d’un roux ardent. » Il s’intéresse beaucoup au jeune Eugène de Rastignac qu’il veut aider à faire fortune. Le chef de police, demande de l’aide à Mlle Michonneau et Poiret, en leur racontant que Jacques Collin a été condamné à vingt ans de bagne pour un faux meurtre commis par un autre, « un beau jeune homme, un