La Cité des ténèbres

de telles créatures mais les écoute, réfléchit aux situations et les juge. Le chœur est composé de 15 garçons (choisis parmi l’élite des jeunes gens de la cité). Le chœur est un personnage collectif, trait d’union entre les spectateurs et les acteurs qu’il interroge par le truchement du coryphée (chef de chœur). Le chef de chœur représente la cité et exprime la voix et les réflexions des citoyens, du public. La structure de la tragédie est très codifiée : Les interventions du chœur (les « stasima »

il vivait? Je suis de ton avis, dit-il; il préférera tout souffrir plutôt que de vivre de cette façon-là. Imagine encore que cet homme redescende dans la caverne et aille s'asseoir à son ancienne place : n'aura-t-il pas les yeux aveuglés par les ténèbres en venant brusquement du plein soleil? Assurément si, dit-il. Et s'il lui faut entrer de nouveau en compétition, pour juger ces ombres, avec les prisonniers qui n'ont point quitté leurs chaînes, dans le moment où sa vue est encore confuse et avant

outre, la pensée serai une lueur de d'espoir dans la misère et est malgré mauvaise dans le sens ou lorsqu’un Homme est Guidé que par ça seule pensé sans qu'il n'y ai d'acte a l’arriére, alors celui vis dans un semblant de vie qui le plonge dans des ténèbres éclairer d'un simple lumière. Ici il est donc question d'un cas ou la penser va au-delà de l'action. Sartre Continu par la suite avec l'amour qui est un en-cheminement d'action qui consiste donc a créer son propre amour qui n'est donc pas la de base

certain « rythme » Xénophane Dans toute sensation :sorte de relatif : ns invitant a distinguer la chose en ELLE-MEME et la VISION que NOUS en avons . distinction science et opinion mm si ne se précise pas comme tel . LA CONSCIENCE DANS LA CITE Les Sophistes Sophistes :tels que Protagoras , Gorgias , Antiphon :Grands intellectuels font monnayer leur savoir .Usage de la rhétorique et de la dialectique .Faisaient table rase tout ce qui faisait office d’absolu :mythes , traditions .

régnante » comme on peut le découvrir sur le site officiel des prix Nobel. Désert est un roman de 1980 qui appartient à cette seconde manière. Le récit raconte comment Lalla, née dans le désert, a vécu une enfance heureuse dans le bidonville d’une grande cité marocaine, puis comment elle a été obligée de fuir et d’émigrer à Marseille où elle découvre la misère et la faim, « la vie chez les esclaves ». L’extrait à commenter rapporte comment la jeune descendante des hommes bleus est heurtée par la grande

saisons et plus généralement la vie !!!! Depuis sa naissance véritable, l’homme n’a jamais cessé de s’interroger et sur l’univers et sur le monde et sur ses propres problèmes existentiels Le franc-maçon n’est plus ce « profane perdu dans les ténèbres ». Qu’en est-il de sa spiritualité ? Lui aussi s’interroge, face à l’inconnu, face à l’indicible. Mais sa quête, et les moyens, et la finalité diffèrent. L’esprit maçonnique est original et particulier, sa quête est singulière, ses réflexions

antistrophe 2). Son existence, avec un tel revirement de fortune, est l'archétype même de la destinée tragique. Dans sa dernière intervention, qui clôture l'action liée aux révélations oraculaires, le chœur résume l'histoire de celui qui a été le héros de la cité. Sa chute spectaculaire est soulignée par les nombreuses antithèses, d'ordre lexical (lexique de la conquête/défaite), temporel (verbes au passé/adverbe « Maintenant »), et syntaxique (propositions affirmatives/interrogations à valeur rhétorique) :

Nouvelle : L’invasion des rats Il se trouvait au dessous de notre terre, une petite ville des ténèbres, une cité des rats appelée aussi Démorats, ces habitants sont des rongeurs, ils vivaient là bas au sous-sol, on complait plus de cinq millions de rats, ils vivaient paisiblement dans le sous-sol des êtres humains. Mais ce qui est étonnant chez cette société des rats c’est qu’elle

"l'échafaud"Victor Hugo C’était fini. Splendide, étincelant, superbe, Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe, Large acier dont le jour faisait une clarté, Ayant je ne sais quoi dans sa tranquillité De l’éblouissement du triangle mystique, Pareil à la lueur au fond d’un temple antique, Le fatal couperet relevé triomphait. Il n’avait rien gardé de ce qu’il avait fait Qu’une petite tache imperceptible et rouge. Le bourreau s’en était retourné dans son bouge; Et la peine de mort, remmenant

après « ancien badigeon rouillé » ligne 4. Les peintures semblent être ancienne et de mauvaises qualités, sûrement pour que l’on comprenne que l’oncle Baudu n’a pas les moyens de se procurer mieux ou de faire rénover la façade. L’auteur cite également « poussiéreuse » et « étoffe entassées » ligne 11, signifiant que la boutique est mal rangé et peu entretenue. Par ailleurs, l’impression de pauvreté et de simplicité provient aussi de l’architecture de la façade. Les autres bâtiments de