La Théorie De La Contingence Structurelle

d’étudier l’impact de l’orientation marketing des entreprises tunisiennes (relationnelle versus transactionnelle) sur l’obtention d’un avantage concurrentiel, tel que perçu par les gestionnaires, compte tenu de l’influence de certains facteurs de contingence. A partir d’une enquête menée auprès de 62 entreprises dans les secteurs de l’informatique et des télécommunications, du textile ainsi que celui de la distribution, nous avons constaté, d’une part, que les perspectives relationnelle « pure » et

autoritaire : c’est ce qu’il appelle la théorie X => vision taylorienne de l’organisation. * L’H pt-ê motivé par le L => il accepte voire recherche les responsabilités. Ds ce cas, la direction n’a pas besoin d’ê autoritaire. C’est ce que McGREGOR appelle la théorie Y qui est jugée préférable. La théorie X est le fondement des méthodes de direction répressives où le central doit porter sur les H pr s’assurer que le L est fait. La théorie Y est le fondement des méthodes de

environnement : c’est la théorie de la contingence, c’est un concept clé en matière de d’analyse des organisations qui se définit comme une situation spécifique et évolutive conduisant à un rejet des standards. Pour les organisations cette contingence est structurelle car les changements sont des variables externes provoquant des évolutions dans la structure de l’organisation et donc dans le style ou le mode de management. L’environnement étant l’élément clé de la théorie de H.Mintzberg, il est intéressant

Support de cours de Théories des organisations 2011 CHAPITRE 3 : LES APPROCHES CONTINGENTES DES ORGANISATIONS : ORGANISATION ET STRUCTURE La structure définit l’architecture interne d’une organisation et les relations entre ses divers clients. C’est l’ensemble des dispositifs selon lesquels une entreprise (ou plus généralement une organisation) répartit, coordonne, contrôle ses activités et, au-delà, oriente ou tente d’orienter le comportement de ses membres. Le concept de structure donne lieu

mobiliser les savoirs Compétences et méthodes • Rechercher et valider une information • • • • • économique Exploiter une documentation économique Savoir faire une synthèse de documents Savoir analyser des faits économiques Identifier et mobiliser des théories économiques Développer une argumentation cohérente et structurée sur les thèmes de l’enseignement Structure du programme pour 2 années d’enseignement 6 thèmes d’étude Sens et portée de l’étude Compétences attendues Indications complémentaires

sur des bases solides leur système d’information. ce n’étaient qu’après s’être assurés qu’ils avaient à leur disposition des données valables que nos « ancêtres » commençaient à analyser ces mêmes informations. Bien que certaines de leurs théories sur la comptabilité- dans la mesure où nous les connaissons- ne nous paraissent plus guère utilisable, il nous faut reconnaître que quelques de nos ancêtres lointains pratiquaient une bonne comptabilité d’information, longtemps avant le grand développement

Chapitre 1 : les Théories en organisation La recherche de meilleurs performances des organisations a conduit chercheurs et praticiens (chefs d’entreprises, ingénieurs, organisateurs) à théoriser le résultat de leurs observations sur les entreprises pour mieux les connaître et proposer des solutions adaptées. La réflexion sur l’organisation de l’entreprise commence au XIX siècle avec la généralisation de l’entreprise qui accompagne et suit la révolution industrielle. Ce mouvement est aussi pris

 LES THEORIES DU MANAGEMENT Sources : BARABEL M. et MEIER O., Manageor – Les meilleures pratiques du management, Dunod, Paris, 2006, p. 11 et s. TILLOY I. Polycopiés de cours Section 1 : Les théories traditionnelles du management 1. L’école classique Les auteurs de « l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles1 et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence dans la pratique

Sloan, D. Norton et R. Kaplan).  Diriger et décider Le processus décisionnel peut se décomposer en plusieurs étapes allant de l’identification du problème au choix d’une solution satisfaisante et à l’évaluation de son efficacité. Des facteurs de contingence comme les styles de direction (R. Likert) influencent la prise de décision et déterminent sensiblement le choix des solutions adoptées. L’analyse du processus décisionnel ne doit pas être réduite à la présentation d’une succession d’étapes, mais

niveau de satisfaction des individus, la résistance au changement, la recherche du pouvoir, sont des limites associées souvent à la bureaucratie. 4-Critiques portées à l’école classique : A partir des propositions et des idées avancées par la théorie classique, il n’y a pas de place ni à la négociation, ni à l’influence de l’environnement, ni à la psychologie de l’individu. L’entreprise est considérée comme étant à l’abri de l’influence de l’environnement. Celui-ci est considéré comme étant stable