Le Mendiant Hugo

lauteur de la prface, si le mot navait quelque prtention, les Mmoires dune me . Le recueil est ici explicitement prsent comme un livre matire autobiographique - et, en cela, rfrentiel - retraant vingt-cinq annes de la vie dun homme qui ressemble Hugo. La phrase qui constitue le quatrime paragraphe tablit elle seule le pacte autobiographique Une destine est crite l jour jour. Venant confirmer, sil en tait besoin, la dimension narrative de lentreprise, le sixime paragraphe emploie le mot histoire

nature auxquelles il consacrait son temps. Cet « état simple et permanent » (p.101) le remplissait de bonheur. Sixième promenade Se remémorant une promenade où il avait machinalement dévié de sa route habituelle afin d’éviter de rencontrer un jeune mendiant à qui il faisait pourtant l’aumône de bon cœur et régulièrement aux débuts de leur rencontre, Rousseau en vient à réfléchir sur le rapport entre les bienfaits, le devoir et la liberté. S’il dit ne pas éprouver de plus grand bonheur que de « rendre

..............................................................................59 A UNE MENDIANTE ROUSSE.............................................................................................................................60 LE CYGNE..............................................................................................................................................................61 A VICTOR HUGO.......................................................................................

Centres étrangers : Amérique du Nord, séries S et ES Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours. Texte A - Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835. Texte B - Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, 1846. Texte C - Victor Hugo, Les Misérables, 1862.Texte D - Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas : l’agent secret, Texte A - Honoré de Balzac, Le Père Goriot. Vautrin, personnage mystérieux, et Rastignac, jeune noble désargenté, s’apprêtent à s’affronter en duel, pour

L’exposition - Acte I scène 2 - Acte II scène 1 SEQUENCE 5 : LA POESIE Victor HUGO - 1802 – 1885 - Soleils couchants VI : Les feuilles d’automne : 1831 Paul VERLAINE - 1844 – 1896 - Soleils

fleurir ! Quand, ainsi qu’un poète, il descend dans les villes, Il ennoblit le sort des choses les plus viles, Et s’introduit en roi, sans bruit et sans valets, Dans tous les hôpitaux et dans tous les palais. LXXXVIII. – À une mendiante rousse Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de rousseur, À sa douceur. Tu portes plus galamment

déchéance social et de survivre en cas de crises industrielles. D'ailleurs, en période de crise, le nombre de prostituées ouvrières est multiplié par deux ! Pour donner un exemple littéraire, nous pouvons citer Fantine, dans « Les misérables » de Victor Hugo. Une pauvre femme ouvrière va, après avoir perdu son travail, vendre ses cheveux et ses dents, puis finir par se prostituer dans l'espoir de sauver sa fille, Causette. Elle reflète à elle seule, une grande majorité de femmes pauvres du XIX ème siècle

circulaires et irrégulières de la tour ont été inspirées par la passion de cet architecte pour la musique et son intérêt pour les idées révolutionnaires d'Einstein. B/Quelques architectes célébres : Adolf Behne,Hermann Finsterlin, Walter Gropius,Hugo Häring, Erich Mendelsohn,Hans Poemzig,Hans Scharoun,RUdolf Steiner et Bruno Taut. 3/ La littérature A/ Esthétique du contraste L’expressionnisme littéraire effectue une rupture radicale avec les modèles de l’époque. Il se situe pourtant

écrivit des romans d’aventures, noirs ou sentimentaux (qu'il nomma lui-même de «petites opérations de littérature marchande», des «cochonneries littéraires»), un roman médiéval, ‘’Agathise’’ qui deviendra ‘’Falthurne’’, le scénario d’un mélodrame, ‘’Le mendiant’’, entreprit un roman par lettres qui demeura inachevé : ‘’Sténie ou Les erreurs philosophiques’’. Ayant tiré un bon numéro, il fut exempté du service militaire. En juin 1821, il rencontra Laure de Berny qui avait vingt-deux ans de plus que lui

sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi