Malberg Personnification

À une passante est un sonnet irrégulier car l’agencement des rimes est inversé dans les tercets, puis le premier quatrain se termine dans le deuxième, on a donc absence d’unité syntaxique. 1°partie : Le contexte. * une personnification de la rue * la « rue » est une métonymie car elle désigne les gens qui s’y trouvent. * L’adjectif « assourdissante », et « hurlait » expose le bruit. * « hurlait » est conjugué à l’imparfait et c’est une action durative qui montre que ce bruit

idée par une image, une scène, un être vivant, plus abstrait que le symbole. ex : la Faucheuse, pour la Mort. - la parabole est un texte allégorique qui exprime une leçon de morale ou un principe religieux. ex : les Fables de la Fontaine. - la personnification réprésente une chose ou un animal sous les traits d'une personne. ex : Le piano solitaire se plaignit. - la réification transforme un humain en objet. ex : Je vis un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit, une ruine d'homme. ( Baudelaire

Personnification : C’est le fait de présenter un mot par une image. La paix, une blanche colombe Antiphrase/Ironie : Remplacer un thermes par son contraire. Que tu es drôle ! (ironique) Opposition/Antithèse : On contourne la phrase pour montrer en l’autre versant Je suis parfois intelligent (si on est idiot) Chiasme : Croisement de termes En temps de paix, les enfants enterrent leurs parents. En temps de guerre, les parents enterrent leurs enfants. Comparaison : Une établir ressemblance

phrase entière (poétique ou ironique).
 Ex: "Le pays du soleil levant" (Japon). Le pays du soleil levant JAPON LA PERSONNIFICATION: La personnification c'est parler d'un objet inanimé comme une personne.
 Ex: "Les livres dormaient sur la bibliothèque". Personne : Dormaient Objet inanimé : Livres L'ALLEGORIE: L'allégorie est la personnification de quelque chose d'abstrait Ex: "L'amour: cupidon; la mort: la grande faucheuse". Cupidon L’amour L'HYPERBOLE: L'hyperbole

comme l'imagine FONTENELLE, impossible : "Qu'on pouvait traverser [...] qu'on s'y pouvait arrêter [...] qu'on était maître de [...] qu'enfin cette mer n'était point un obstacle". Cette énumération est interrompue par un passage qui annonce une personnification ou plus exactement une prosopopée (procédé par lequel l'écrivain fait parler des inanimés, des absents ou, comme c'est ici le cas, des morts). On a une description puis une série de questions qui mettent en scène la stupéfaction que les Américains

C’est le fait de représenter une idée par une image : représentation de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux. Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personnification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi Elles sont très nombreuses dans les fables, il s’agit en fait de personnifications. La métonymie: C’est l’emploi d’un nom pour un autre: les planches pour dire la scène. Elle désigne le contenu par le contenant : Boire un Verre. C’est l’œuvre par son auteur

se sentant attaque riposte en voulant démontrer qu il est physiquement normal comme le montre cette question rhétorique "n'ai je pas quatre pieds aussi bien que les autres ?" (l10) pour prouver ses dires il se prend lui même a témoin par cette personnification "mon portrait jusqu'ici ne m a rien reproche" (l11) le dénigrement des animaux suit un certain shema logique. il y a une progression dans la taille des animaux cites. Jean de la Fontaine s'attaque tout d'abord à l'animal le plus laid "singe"

est passé là ils chantent» Syntaxe : . 26 phrases . Des phrases courtes . Aucune ponctuation, sauf le point à la fin qui désigne la fin de tout, la mort. . Des phrases simples et neutre créée un effet dramatique Figure de Style : . Personnification : «Puisque toute liberté survit» une liberté ne peut pas se survivre . Répétition : «appuyés contre le ciel» x2 . Répétition : « Simple» x2 . Métaphore : «Étonnement pour leurs épaules Champs lexical : . Mort : Ciel, martyre, mourir, tuer

structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois Figures d'analogie : L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal... La comparaison : Il y a un comparé (celui que l'on compare à quelque chose), un comparant ('quelque chose') et un outil grammatical de comparaison (comme, tel que...)

Métaphore : même principe que pour la comparaison sans « comme… », etc. Ex : « Il pleut des cordes » (on compare la pluie à des cordes sans passer par l’outil de comparaison) Personnification : représente une chose ou une idée sous les traits d’une personne. Allégorie : même principe que pour la personnification, cependant ne représente concrètement qu’une idée abstraite. Souvent repérable par une majuscule. Ex : « Le Temps mange la vie », la Statue de la Liberté allégorie de la liberté.