Mursa

les deux frères règnent chacun de leur côté en bonne intelligence. Le cadet se montre le plus décidé et impose à son frère sa politique religieuse. Puis Constant est à son tour assassiné par un usurpateur, Magnence, lui-même vaincu à la bataille de Mursa, en septembre 351, bataille meurtrière qui est pour l'Empire un irréparable désastre, toutes ses meilleures forces étant détruites. Magnence se suicide en 353. L'ensemble de l'empire est ainsi réuni sous l'autorité de Constance II. Constance II seul

ect…Comment évolue l’Empire après Auguste ?L’Angleterre a été rajouté Le limès fortifié = Mur d’Hadrien -> 70 km de long, empêcher l’invasion des scotes ( écossais) Zones noires = fortificationsPression ds germains ect… donc besoin de construire des mursA sa mort Auguste est divinisé c’est l’apothéoseDécret du Sénat -> Octave Auguste était un dieuCulte impérial= La maison carrée rend hommage aux petits enfants de l’empereurImmoler =sacrifier, tuer des victimesII Brassages culturels et religieux dans

guerre, c’était le mouvement : le pire malheur était d’avoir à quitter la maison forte" (B.F., p. 94). "[...] le sentiment plus vif qu’il avait de rentrer chez lui [...] son monde installé autour du poêle [...] dans la salle commune." (B.F., page 51) MURSA remarque que Grange développe également une affinité avec les personnes qui habitent le même espace 14 : "Avant de se coucher, il s’arrêtait un moment devant la porte du carré 15 que les hommes entrebâillaient là nuit pour laisser entrer la chaleur

les différentes colonies de Maurétanie. On continue à fonder des colonies après Auguste, mais en moindre quantité, et la pratique s'arrête, selon F. Jacques (Jacques, Scheid 1990, 240), à Hadrien (Aelia Capitolina, à Jérusalem, Sora, en Italie, Mursa, en Pannonie) : – 40 déductions en Italie et 100 dans les provinces pour la seule période césaro-triumvirale et le principat d'Auguste – moins de 50 de Tibère à la mort de Trajan (Jacques, Scheid 1990, 240). Colonies honoraires La concession

hommes, qui, du fait de leur audace et de leur puissance, constituaient l’élite de l’armée romaine ». C’est peu. L’armée peine à aligner des corps au complet, et se retrouve parfois décimée dans les combats de la guerre. Dans la fatidique bataille de Mursa en 351, Constance perd 30 000 hommes sur ses 80 000 hommes tandis que Magnence perd 24 000 de ses 36 000 soldats. L’Empire peut désormais rarement organiser des expéditions militaires d’ampleur et la dernière campagne importante est celle de Perse