Prolepse

donc actions brèves. 2 - Un récit fait à posteriori A) Le travail de la mémoire - C'est un récit en chassée. Un récit dans le récit. Il essaye de reconstituée la scène, et de se souvenir de ses réactions ( regret ) ANALEPSE - Analepse et PROLEPSE à la fois. "en y réfléchissant" "qui a causé dans la suite" - Il y a beaucoup d'élément temporel, et au moment ou il raconte, n'est plus timide. B) Un plaidoyer annonçant une passion fatale - Des Grieux se fait passer pour la victime quand

dominante dans notre corpus, et l’illustrer, et déterminer la fonction dominante du narrateur. Puis, la durée narrative et son effet. D’abord, l’ordre : Les anachronies sont les premières bases de notre analyse, elles comportent les analepses et les prolepses. Ce qui se vise dès l’incipit et l’ibid. Cela dit, dans l’histoire de l’Abbés Prévost, l’histoire commence par sa rencontre du Marquis avec Des Grieux qui va lui à son tour lui raconter son histoire avec Manon Lescaut, et se termine par la mort de

limbes) * Prolepse sans déclencheur (c’est le début du film) * Qui : Réalisateur (dieu) * Fonction : Intriguer, mélanger le spectateur, dire la fin sans l’expliquer. | P1Prolepse réelle(objective)Prolepse partielle,interne, homodiégétique,complétive | Le grand imagier (N1) prend en charge le récit dès S1.Il raconte et fait voir le récit, il n’est pas un personnage de l’histoire et est non identifié.Il s’adresse aux spectateurs et les intrigue en leur montrant un prolepse, donc une scène

cette description indirecte des personnages, l’action est mise au second plan. Elle est d’abord située par rapport à l’énonciation. Le retour en arrière et la projection dans l’avenir des vers 40 à 64, placent l’action dans un cadre déterminé. Cette prolepse et cette analepse sont introduites par des connecteurs temporels : «quand Mélénas», «d’abord». Enfin, l’introduction de ce retour en arrière est faite pas un passé simple : «tu vis naître», action brève, soudaine qui marque la coupure avec le paragraphe

remarquons que le narrateur fait une analepse : un retour dans son passé et utilise le passé composé dans : « Je me suis étonné mille fois en y réfléchissant… » ; «  Et qui a causé, dans la suite tous ses malheurs et les miens » qui est donc une prolepse dans le passé. Le narrateur exprime son regret, remarqué avec l’interjection : «  Hélas ! ». Par ailleurs, Des Grieux fini par se moquer de lui-même dans : «  si elle n’eût assez d’esprit pour suppléer à la stérilité du mien » car il se rend compte

travers le récit et le discoure II- le jeu sur la poésie du Carpe Diem I- poème débute sur un récit encadrant avec référence temporelle =>imparfait, passé composé - 3 premiers vers sont au récit passé=>temps=>action révolue - analepse => vers 1 à 3 - prolepse => vers 12 à 14 - 1er strophe => vocabulaire banale, situation banale, récit banale - «bougon» => familier - Bosquet prend parti du réalisme - banalité effacer au début du vers 3 - Bosquet ménage la surprise - situation anormale qui n'est pas expliqué

agencement des bandes " parole", "musique" et " bruits" Montage : choix et assemblage selon un certain ordre des plans retenus.   flash-back :  retour sur des événements antérieurs à l'histoire racontée ( analepse dans une oeuvre narrative)     prolepse : anticipation sur la suite des événements     ellipse : passage d'un événement à un autre sans passer par les événements intermédiaires Mouvements de la caméra     plan fixe : caméra immobile     panoramique : le pied de la caméra est fixe, mais

 fonction  La narration (= comment l’histoire/la fiction est racontée) : 1. 2. 3.   Organisation : • Temps :  rapport narration / histoire (antériorité, simultanéité, postériorité)  valeur des temps verbaux • Ordre narratif (analepse, prolepse) • Rythme narratif (pause, ralenti, scène, sommaire, ellipse, digression) • Mots de liaison (subordonnants, adverbes) Enonciation : • Le point de vue du narrateur (focalisation zéro, interne ou externe) dont la présence (ou l’absence) apparaît dans

apparaît comme une ville lumière mais aussi une ville de l’or et de la richesse. Tableau très critique Babylone moderne. « Ce jour-là… » vue très large sur Paris. Découvrent un Paris qu’ils ne connaissent pas. « Pauvre femme » anticipation ou prolepse car meurt 2 mois plus tard. Description métaphorique, côté esthétique. Couleurs imprécises et indécises. Tableau d’une ville colorée et vivante qui commence à entrer dans la littérature. Foule devient un objet de littérature et de peinture. Zola

a deux cas : si ces deux temps coïncident, le récit est ISOCHRONE. Au cas contraire il est BOULVERSÉ. Le narrateur peut choisir de dire après quelque chose qui s’est passé avant (ANALEPSE), ou de dire avant quelque chose qui s’est passé après (PROLEPSE). Le lecteur doit être attentif à l’ordre de la narration, aux indications temporelles, comme les dates, les adverbes, les compléments. 3. DURÉE ET VITESSE DE LA NARRATION L’auteur peut varier le rapport entre le temps de l’histoire et celui