Soleil Levant Verlaine

forme d’homme et non de loup. En laquelle forme il eut certainement mangé de la chair du garçon, si du secours n’était intervenu, et nonobstant le fait que cela se passait un Vendredi, ainsi qu’il l’a confessé de manière répétée. LE PRISONNIER (se levant brusquement) : Je n’aime pas le poisson ! Le prisonnier se rassied. Il remarque alors, au pied du panneau, une petite scie... A-t-elle été laissée là par un ouvrier ? Qu’importe ! Il la prend discrètement et entreprend de scier ses chaînes. LE JUGE

877), Seine (vers 1841), huile de la 43,5 x 65 sur toile, cm Arts, Lille). (palais des Beaux- ans l’encad rement des à droite et côtes vertes, à gauche s’abaissant d’un bleu d’argent sous , un grand triangle d’eau, loin, et une le voile, à peine soleil, apparaissait insecte là-bas. au visible, avait l’air d’un Guy de Maupas sant, Pierre et Jean (1888). D 94635_RB _CHAP2_4 2-47.indd 42 1. Identifiez les des deux tableaupeintres, les titres et les dates 2. Quels sont x. sur une carte

médaille d’or aux Championnats du monde d’athlétisme 68. La capitale de l’Ethiopie est : A) Luanda B) Addis-Abeba C) Mogadiscio D) Khartoum 69. Quel(s) pays le Nil traverse-t-il ? A) Le Tchad B) L’Ethiopie C) L’Egypte D) Le Soudan 70. Impression, soleil levant est un tableau de : A) Edgar Degas B) Edouard Manet C) Claude Monet D) Alfred Sisley 71. Cochez chaque œuvre de Jean-Jacques Rousseau : A) Discours sur l’origine de l’inégalité B) Les Rêveries du promeneur solitaire C) Le Contrat social D) Abélard

obscures. S'il y avait eu une seule vérité cachée dans vos amas d'arguments qu'on ressasse depuis tant de siècles, on l'aurait découverte sans doute; et l'univers aurait été d'accord au moins sur ce point-là. Si cette vérité était nécessaire comme le soleil l'est à la terre, elle serait brillante comme lui. C'est une absurdité, c'est un outrage au genre humain, c'est un attentat contre l'Etre infni et suprême de dire : il y a une vérité essentielle à l'homme, et Dieu l'a cachée.» Tout ce que disait ce

il n’est pas juste que j’aie passé sans fruit[footnoteRef:25] auprès de lui mes plus belles années. Viens, Toinette : prenons auparavant toutes ses clefs (…). [23: projet] [24: par chance] [25: sans profit] Argan , se levant brusquementDoucement !Béline , surprise et épouvantéeAïeArganOui, Madame ma femme, c’est ainsi que vous m’aimez ?ToinetteAh ! ah ! le défunt n’est pas mort.Argan , à Béline, qui sort.-

la dilatation de l’instant qui ne passe pas, dans l’ironique En avant ! vers le néant. Oh les beaux jours Oscillant entre les deux langues, Beckett revient à l’anglais pour écrire Oh les beaux jours en 1961. Le titre est emprunté à un poème de Verlaine : « Oh ! les beaux jours de bonheur indicible », dans Colloque sentimental. La pièce est créée en français à Venise, puis à l’Odéon par Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault, en 1963. L’ironie acerbe de Beckett s’attaque ici, comme il l’a fait

trouée de lumière s'ouvrait dans la vie sombre de ces pauvres gens. L'éternel recommencement de la misère, le travail de brute, ce destin de bétail qui donne sa laine et qu'on égorge, tout le malheur disparaissait comme balayé par un grand coup de soleil ; et, sous un éblouissement de féerie, la justice descendait du ciel. Puisque le bon Dieu était mort, la justice allait assurer le bonheur des hommes, en faisant régner l'égalité et la fraternité. Une société nouvelle poussait en un jour, ainsi que

Douai », Poésies (pas d’édition imposée) Lectures analytiques (cf. manuel de l’élève p 440 et 441 + extrait 3) joint) : 1. Ma Bohème 2. Le Mal 3. À la musique Documents complémentaires : Rimbaud, « Lettre dite du voyant » à Paul Demeny, 1871. Verlaine, « Art poétique » Histoire des Arts : Gustave Moreau, Orphée, 1865 Lectures cursives : Paul Eluard, Capitale de la douleur Rimbaud, « Poésies » (1870-1872) Lecture facultative : Pierre Michon, Rimbaud le fils En vue de l’entretien : - Biographie

avait Fernand y avait Firmin Y avait Francis et Sébastien FM7 Gm9 Et puis Paulette (fa sol la sib) Bbm Eb Eb Et de rainettes Ab On était tous amoureux d'elle Db Gm On se sentait pousser des ailes Fm A bicyclette (fa mi re#) 3.Quand le soleil à l'horizon Ebm Profilait sur tous les buissons Sur les petits chemins de terre FM7 Bbm Nos silhouettes On a souvent vécu l'enfer (sib do reb mib fa fa# mib fa) Pour ne pas mettre pied à terre (sib do reb mib fa >sib mib fa) Gm9 On revenait

sortait la voix profonde des foules. On était à l’automne ; la ville, sous le grand ciel pâle, s’alanguissait, d’un gris doux et tendre, piqué çà et là de verdures sombres, qui ressemblaient à de larges feuilles de nénuphars nageant sur un lac ; le soleil se couchait dans un nuage rouge, et, tandis que les fonds s’emplissaient d’une brume légère, une poussière d’or, une rosée d’or tombait sur la rive droite de la ville, du côté de la Madeleine et des Tuileries. C’était comme le coin enchanté d’une