Émile zola
En lisant, je m’aperçue du sens analytique et scientifique de l’ouvrage. Zola explique le déroulement des sentiments des amants, Thérèse et Laurent, avant leur assassinat et après leur assassinat de l’époux de Thérèse, Camille. Ils le touent pour être finalement ensembles. Je remarque la métamorphose des sentiments éprouvés par les amants à partir de la mort de Camille. Comment leur amour devient une souffrance, une haine. Avant le crime, Zola analyse le désir sexuel des amants. « Dès le commencement, les amants trouvèrent leur liaison nécessaire, fatale, toute naturelle » (Chapitre VII). Après le crime, il me fait comprendre qu’il n’y a pas de sentiments d’amour dans ce désir sexuel. Le sentiment est superficiel. Alors c’est facile de passer de l’adultère à la souffrance. « La haine devait forcément venir. Ils s’étaient aimés comme des brutes, avec une passion chaude, toute de sang ; puis, au milieu des énervements du crime, leur amour était devenu de la peur, et ils avaient éprouvé une sorte d’effroi physique de leurs baisers ; aujourd’hui, sous la souffrance que le mariage, que la vie en commun leur imposait » (Chapitre XXVIII). Il montre un bouleversement de la situation, le meurtre ne solution pas leur situation. Zola transforme leur milieu pour observer le changement dans leur comportement. La folie et la culpabilité jouent un rôle important aussi après le meurtre. «