Travail 1

Introduction

Les saisons changent et ne sont plus comme elles étaient auparavant. Chaque année, des incidents naturels surviennent et mettent en péril la sécurité et le bien-être de certaines personnes. Lorsqu’un évènement naturel arrive, comme des inondations, la population est souvent en situation d’urgence et nécessite de l’aide humanitaire afin d’être en sécurité face aux impacts possibles. Différents groupes de personnes peuvent être appelés à aller donne un coup de main, dont celui des forces canadiennes. Mais, malgré leur grande volonté d’aider et tout le travail acharné qu’ils font pour venir en aide aux sinistrés, ils font souvent l’objet de controverses en raison de citoyens mécontents. Dans le cas des dernières inondations à Saint-Jean-sur-Richelieu, dans la Mauricie, cela a été le cas. Une partie de la population s’est plainte de l’armée et de certaines décisions prises à leur effet. Mais, savent-ils qui est le réel preneur de ces dites décisions? Sont-ils au courant que les militaires sont entraînés pour obéir aux ordres qu’ils leur sont donnés et non pour décider par eux-mêmes quelles sont leurs tâches? Les tâches qui restent à faire dans la municipalité sont-elles encore du ressort des forces canadiennes?

Phase 3

La valeur privilégiée dans la situation et les raisons de ce choix :

Dans ce dilemme éthique, la valeur que nous avons priorisée est celle de la conformité des rôles et du respect des forces canadiennes. Celle que nous avons jugée secondaire est celle de la sécurité, de la santé et de la bienveillance. Plusieurs raisons nous ont poussées à faire ce choix. Tout d’abord, puisque nous croyons que prioriser la conformité évitera des conséquences négatives pour les militaires. Il faut rappeler que, dans cette situation, l’armée a trois tâches principales. La première consiste à aider les autorités civiles à acheminer l’aide humanitaire à ceux qui en ont besoin et faire des évacuations. Ils ont aussi comme rôle de protéger