Évaluation clinique

2836 mots 12 pages
Evaluation clinique du fonctionnement mental et psychique I. Introduction : La démarche des tests et ses critiques * On va voir ce qui se passe au niveau de l’activité de pensée lorsqu’avec un enfant on propose un jeu ou un dessin. Quand il produit une situation lui-même ce n’est pas standardisé donc c’est une épreuve, les tests eux sont standardisés. * L’activité mentale * Nous mobilisons également une dimension psychique lorsque nous faisons une épreuve intellectuelle. * Psychique = tous ce qui s’élabore chez un sujet et qui dépend de ce que nous appelons en psychanalyse la pulsion mais que nous nommons plus couramment le désir. Donc ce qui nous pousse à faire ou ne pas faire, à comprendre ou à ne pas comprendre. Ceci fait référence à ce que le sujet lui-même construit comme sens le concernant.
Pourquoi supposons-nous qu’il y a une dimension qui n’est pas seulement cognitive lorsque nous réfléchissons ?
La plupart des échecs scolaires n’ont rien à voir avec les capacités intellectuelles, on en retire les personnes ayant des troubles cognitifs spécifiques.
Mais hormis cela la plupart se situe dans la moyenne. Il y a des modifications de la dynamique intellectuelle en fonction de leur histoire. Des enfants jusqu’à la grande section apprennent sans problèmes et ensuite après une séparation parentale très conflictuelle sur cela donne lieu à des problèmes d’apprentissages lors de l’entrée au CP même sans l’apparition de troubles cognitifs. La dyslexie est mise de côté car c’est un trouble cérébral.
Dans le cas où nous mettons en lien les activités mentales, la vie psycho-affective, il y a influence sur la capacité de pensée.
La modification ou la progression des capacités intellectuelles après une psychothérapie peut être observé. Le soin psychique a donc des capacités sur les capacités intellectuelles. L’enfant se sert à ce moment-là son potentiel ou ne s’en serait pas ou très peu. Il n’y a pas d’augmentation de l’intelligence mais juste une

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