Étude de la psychologie selon danzinger
Dans l’étude des objets scientifiques, on peut prétendre à une différenciation du travail entre scientifiques et historiens, alors que les premier s’efforcent de placer leur objet d’étude au rang d’objet naturelle, qui est intemporelle et existe sans la présence de l’homme ou dans ce cas-ci du scientifique, le second, lui, tente de conceptualiser l’histoire de l’objet en question de ses fondements théoriques (parfois archaïque) jusque dans sa nouvelle saillance contemporaine. On étudie que rarement les objets scientifiques déchus à moins qu’ils ne fassent partie d’un concept englobant un objet encore populaire de nos jours ou qu’ils aient joués un rôle dans son évolution ou son histoire. Pour le scientifique l’objet d’étude représente un concept unique et universel que l’on qualifie d’objet naturel puisqu’il existe dans tous les pays n’est pas influencé par l’histoire, le régime politique, etc. L’historien lui ne tente pas de prouver la suprématie de l’objet d’étude, il prétend plutôt que les objets d’études sont largement influencés par des contextes socio-économiques et historiques. Il ne se préoccupe que de relater les divers faits marquant de l’évolution d’un objet scientifique. La preuve étant que bien que l’on puisse tous s’entendent sur le fait qu’un principe de rétention de l’information appelé mémoire existe, son étude par les scientifiques est très variés. Ils ont beau tous parlé de mémoire, le même objet scientifique, ils peuvent avoir des visions diamétralement opposées de l’objet en question en raison de leur école de pensée, vécus, etc. Alors que les scientifiques veulent faire avancer leur objet de recherche comme étant ‘naturel’ l’historien de la psychologie se contente d’observé les dits objet de façon objective et d’en soutirer un fil directeur qui est son histoire. Qu’un objet soit naturel ou non n’a aucune importance pour l’historien. Par exemple, la phrénologie n’est évidemment pas un objet naturel, mais elle possède une