Étude de satisfaction
La mondialisation de l’économie est devenue une réalité incontestée. Le processus est non encore achevé ; mais il porte les éléments d’une interdépendance sans précèdent des économies dont la transmission des fluctuations internationales (réelles ou monétaires) est la conséquence immédiate et qui est déjà de fait. Dans ce contexte, les avantages liés à l’internationalisation de l’entreprise font que celles-ci acceptent de gérer un ensemble de risques. Afin de limiter leur impact, elle se doit de mettre en place une véritable stratégie de gestion des risques couverts par des instruments adaptés.
Section I) les différents risques liés au commerce international
Afin d’étudier de façon approfondie les techniques de couverture, il semble indispensable d’identifier les risques associés à l’environnement international, de les définir et de les analyser selon leur différentes acceptions.
1) risque commercial
c’est principalement l’incapacité financière temporaire ou définitive de l’acheteur à payer le montant de la transaction qu’il s’était engagé à régler dans les délais convenus . Ce peut également un litige portant sur la qualité des marchandises ou la non exécution d’une des clauses du contrat, que cette contestation soit fondée ou non. Les causes de défaillances peuvent être également liés à la conjoncture économique mais aussi à la mauvaise gestion et à l’absence d’une politique de préventions des risques. Il ressort, cependant, que la crise de trésorerie est donnée comme une première causes de défaillance, suivie de prés par la réduction des marges et de la rentabilité.
L’entreprise exportatrice st donc face à un risque important puisqu’elle est exposée elle même à un risque de rupture de trésorerie par défaut de paiement de ses clients. Et compte tenu du poids du poste client dans le bilan de l’entreprise (en moyenne 30%) , le risque de non ^paiement