Être soi-même
Tout le monde a déjà été « soi-même », juste en parlant et en disant « Je » ou « c’est à moi ». On est soi-même dans certaines occasions, en ayant des comportements uniques, des mimiques, des expressions propres à nous individu. On parle souvent inconsciemment de soi, on utilise notre liberté, notre droit de pensée pour réfléchir et parler.
Cependant il arrive qu’on utilise les expressions « je suis sortie de mes gongs », ou « je suis hors de moi ». Dans ce cas là on a l’impression que notre pensée agit sans même qu’on l’ai voulu, de façon plus ou moins juste parfois, c’est à ce moment précis que notre personnalité, nous en tant qu’individu, avons l’effet que notre identité est en suspends. Cette sensation nous amène à nous demander, si nous pouvons toujours être nous- mêmes ? Ou est-ce la conscience et la maitrise qui nous permet d’être soi-même? Faut-il être réellement seul, agir sans ce soucier des autres pour être soi-même ? Enfin au contraire qu’est-ce qui nous empêche d’être nous même ? Dans quelle circonstance on peut-être hors de nous, absent de notre image habituelle ? Comment les sentiments peuvent-ils modifier notre conscience ?
Au premier abord il serait inconscient de dire qu’on est pas nous-même. On peut dire qu’on ne se pose pas de question et qu’on est la personne qu’on est, qui à ses qualités et réciproquement ses défauts. À partir du moment où on pense, où on réfléchie, où on se questionne, on peut dire qu’on maitrise ce que l’on fait et donc qu’on est maitre de soi. En tant qu’individu d’une société, on doit respecter des droits et des devoirs, et c’est par ce biais là qu’on est le simple reflet de l’image que l’on représente. La conscience de ce que l’on fait et du monde qui nous entoure est le constat immédiat que l’on peut faire. D’après Descartes, on a le droit de douter de tous ce qu’on l’on veut mais pas de ce qu’on peut penser par notre esprit