“La littérature est parfaitement inutile : sa seule utilité est qu’elle aide à vivre. “
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Dissertation“La littérature est parfaitement inutile : sa seule utilité est qu’elle aide à vivre. “
Claude Roy
La littérature est un ensemble d’œuvres écrites, dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques, quant au mot inutile qui se définit comme ne servant a rien, qui n’apportant rien, qui est superflu. Quant a l’utilité elle se traduit par un usage qui est ou qui peut être avantageux, cela peut aller jusqu’à satisfaire l’un de nos besoins.
Le verbe aider et le fait d’appuyer en apportant son aide physique ou morale à une personne et le mot vivre consiste à exister.
A propos de la littérature, le journaliste et romancier français, Claude Roy affirme que la “littérature est parfaitement inutile“ dans sa première phrase, la deuxième phrase est censé être en accord avec la première, cependant il lui accorde une seule utilité “elle aide à vivre“. On perçoit l’ironie de Claude Roy dans sa première phrase car il est lui même un grand écrivain et ce serait dire qu’il n’apprécie pas écrire. Selon lui la littérature est fondamentale puisqu’il dit qu’elle l’aide à vivre. La littérature peut donc nous aider à vivre en nous apprenant à communiquer, analyser, comprendre, etc, mais elle apporte également du plaisir et peut nous aider à nous distancer du monde.
Cet énoncé peut être divisé en deux parties principales, “La littérature est parfaitement inutile“ et “Elle aide à vivre “. On peut voir un lien entre ces deux phrases, Les parties principales : “La littérature est parfaitement inutile“ et “Elle aide à vivre“. Le lien qu’il y a ente elles c’est que la littérature n’a pas d’utilité au sens propre, elle n’apporte rien de concret, mais elle a de l’utilité au sens spirituel, pour notre propre enrichissement.
D’après Claude Roy la littérature est indispensable pour vivre, mais en quoi peut-elle réellement aider à vivre ? Mais cependant suffit-elle à vivre, surtout si elle n’est pas accessible à tout le monde ?
Tout d’abord, on peut