INTRODUCTION
Étant né à tours le 20 mai 1799 dans une famille de la petite bourgeoisie, venant d’une lignée paysanne du midi, comme d’autre à cette époque, il s’intéresse à la révolution anglaise du XVII siècle. Le fondement de sa création artistique découle de l’état de l’abandon dans lequel nous pouvons percevoir dans tous ses récits une démarche similaire qui tend vers l’absolu. Le chef d’œuvre inconnu est une nouvelle de Balzac les plus célèbre et les plus commenté qui a été publié dans le journal l’artiste sous le titre de Maître Fraunhofer en août 1831, puis toujours dans le même journal sous le titre de Catherine Lescault, conte fantastique, la même année. Cette nouvelle parue une nouvelle fois dans les études philosophiques, en 1837. Cet œuvre constitue une réflexion sur l’art puisque celui-ci ne se contente pas de se questionner sur l’art et l’œil du peintre mais envisage la question de la perception et du regard de l’artiste au moment où il créer. En premier lieu, Balzac est à la quête de la perfection. En deuxième lieu, Balzac nous démontre d’où vient l’intelligence de l’art.

CONCLUSION

Dans cette nouvelle, les multiples discours au sujet de la peinture nous transmettent un savoir qui nous invite à participer aux débats sur l’art et nous dépaysent grâce aux termes techniques. Selon moi, la picturalisation du langage qui décrit le tableau renforce la poésie de cette œuvre. Balzac oppose ici l’idéalisme au matérialisme puisqu’il met l’accent sur la matérialité physique du personnage qui vient donner un effet miroir puisque Nicolas Poussin cherche à percer le secret de Fraunhofer qui est de créer le tableau idéal. Dans les nouvelles de Balzac, nous pouvons constater un angle de la mobilité des classes sociales. De plus, d’un point de vue historique, ses romans passent par la restauration et de la monté de la bourgeoisie. De cet accent, nous pouvons crée automatiquement un lien avec le roman Bel-ami de Guy Maupassant puisque