Une liberté complexe

Le Québec dans les années 60, est attrapé par la Grande Noirceur une période régné par Maurice Duplessis en alliance avec le clergé. La société est bloquer ne peuvent plus bouger, car elle est secouée par le changement social donc les Québécois cherchaient le besoin d’être libre puisqu’ils vivaient dans une société trop conservatrice. Le roman Le Libraire témoigne de ce contexte sociohistorique, on y traite de la censure et de la toute-puissance du clergé du Québec de cette époque, une littérature québécoise écrite par Gérard Bessette en 1960. C’est exactement ce qui se passe dans ce roman les personnages ne sont pas libre. Nous le démontrons en premier lieu par le fait qu’ils ont tous peur de ce que le clergé dira à leur sujet ensuite, qu’aucun d’eux ne peut faire ce qui veut et se sentent enferme sans rien pouvoir dire.
Tout d’abord, le personnage de Chicoine n’est pas libre, car en possédant une librairie avec des livres interdit par le clergé, il est pris par une peur qu’on le découvre est qu’il se fasse jugé. « Seule une menace de délation auprès de M. le Curé ou des pères aurait pu ébranler Chicoine » (p.140). On y voit vraiment que le clergé a un très grand pouvoir à l’époque sur son peuple, il pouvant les manipuler leur enlever le droit de liberté individuelle on devait penser tous comme eux. Par la suite, Mme. Bouthiller est le seul personnage à avoir subit le rejet de l’église «Je sais ce que c’est allez! ajouta-t-elle, désappointée de mon flegme. Quand j’ai du me séparer de mon mari parce que c’était vraiment intenable un saligaud de la sorte! ne pensez pas que ça a toujours été rose. Si vous aviez entendu les papotages!... Tellement que, croyez-le ou non, J’avais peur de me montrer dans la rue… On me dévisageait avec un air!... Je ne savais plus où me mettre…» (P.109). Elle savait au tout début, que si elle se séparer de son mari le clergé aller riposter est bien c’est ce qu’ils ont fait, on le voit bien dans la citation