9 EJ Psychanalyse Pestre
Elise Pestre : Partie 1 & 2
EJ 9—31/ 3/2015
Retranscription : Moriatis Hadrien
Relecture : ?
Bonjour à tous. Alors on a parlé la semaine dernière, on a, travaillé sur le texte de… Vous avez bien reçu le texte de Golse ? Oui ? Parfait.
Donc on a vu et on va poursuivre encore aujourd’hui sur la place de l’environnement maternant et son rôle prépondérant dans le développement normal ou à l’inverse dans le péril psychique de l’enfant, du moins c’est ce qu’on pourrait dire. Et…on a vu aussi à travers la question des identifications qu’on a abordées… Bon, nous abordons des choses que vous reverrez après plus en profondeur donc pas de panique si vous ne comprenez pas tous ce que signifie « l’identification », pour la prendre comme exemple.
Mais, on a quand même pu voir – et ça reprend ce que Freud disait en 1923 dans « Psychologie des foules et analyse du moi » -- que l’identification est la forme la plus précoce et la plus originaire du lien affectif. C’est ce qu’on a confirmé avec le texte de Golse. C’est un peu difficile mais on a abordé cette question des identifications.
Donc je voulais qu’on poursuive encore un tout petit peu sur cette question des interactions précoces. Est-ce que vous avez vu avez M. Guittonneau la question de la position dépressive ? Très bien…en ce moment même. Très bien. Tant mieux.
Parfait… ça coïncide bien. C’est important puisque ce qu’on voit bien là encore comment le Moi ce constitue en interface avec le monde. C’est toujours ça nôtre axe, sur cette articulation Psychologie individuelle et collectif et donc comment le Moi- c’est ça- comment il se constitue depuis ces interactions hyper-précoces et donc avec l’environnement, avec le monde. Donc je ne reprends pas cette question sur la position dépression dépressive.
Peut-être un mot sur le Fort-Da, je crois qu’on l’a un petit peu efflorer. En tout cas vous savez ce qui s’appelle le jeu de la bobine de Freud, qu’il a pu observer avec son petit-fils et qu’il