A une passante lecture analytique
TEXTE BAC N° « A une passante » de Charles Baudelaire, poème XCIII, « Tableaux parisiens », Les Fleurs du mal , 1861. I) Apparition de la passante dans le cadre urbain et réaction du poète sidéré/fasciné (Q1 etQ2) 1) Apparition de la passante dans le cadre urbain (vers 1 à 5)• Le cadre urbain…Poème bien issu des « Tableaux Parisiens » : univers urbain évoqué de manière □ laudative OU □ dépréciative ?Cadre spatial peu propice à la rencontre (à opposer au cadre d’autres poèmes de rencontre. Si vous n’en lisez qu’un, lisez : « Elle était déchaussée, elle était décoiffée... » de Victor Hugo □ FAIT). Ce cadre est évoqué à …afficher plus de contenu…
(temps verbal) de ………………………….. (valeur) : « ………………….… » (souvenir d’une scène, fait révolu).V.1 : bruit, vacarme rendu par allitération en [r] et en [s] + rue personnifiée dont le caractère déplaisant est souligné par la double …………………………... (« assourdissante » et « hurlait »). La communication avec la passante ne peut être que visuelle et pas auditive (peut-être …afficher plus de contenu…
« une » et …………………... (temps verbal) de ………………………….. (valeur) : « ………………….… » (la femme n’est qu’entr’aperçue).Dynamisme de cette beauté mise en mouvement. Légèreté / vivacité des mouvements («……………………..» v.4, «…………………….» v.4, «………………...» v.5). Insistance créée par le verbe « passa » qui reprend le titre « A une passante ». Allitération en [s] qui fait ressortir le bruissement des vêtements de la femme (avec, par exemple le mot «…………………...» : pointe de broderie qui fait ressortir l’étoffe comme si c’était une guirlande).Rôle des enjambements également : vers …………………et vers ………………………..Beauté : relever le chp lex du corps (faisant le portrait de la