Absurde, théâtre de l'absurde et représentants

500 mots 2 pages
L’ABSURDE

L’absurde désigne généralement ce qui est contraire à la raison et à la logique. Mais ce mot a pris un sens plus précis après l’horreur de la Première Guerre mondiale, lorsque les jeunes générations ont perdu leurs repères et refusé cette société qui semblait ne les avoir fait naître que pour les envoyer au combat. Pour la première fois, les croyances religieuses sont à la baisse et l’évolution pas très gaie du monde effraie les gens qui commencent à se poser justement des questions sur ce monde dans lequel ils vivent. Pessimistes, ils veulent alors réinventer la société et le monde. Ce style est donc un miroir de l’époque où il est né.
La littérature de l’absurde est un mouvement littéraire du XXème siècle ayant pour principe que la condition humaine est dénuée de raison d’être, de finalité, de valeur. Il a pour représentant principaux Alfred JARRY (« Ubu roi »), CELINE (« Voyage au bout de la nuit »), Jean-Paul SARTRE (« La Nausée ») et Alfred CAMUS (« L’Etranger »). Dans la littérature absurde, le personnage a des sentiments mélancoliques et pessimistes à cause du non-sens du monde qui l’entoure. Lorsqu’il essaie d’expliquer l’absurde par un discours rationnel, le personnage n’y parvient pas puisque l’absurde échappe à la logique.

THEATRE ABSURDE

C’est une forme de théâtre où on peut tout oser, utiliser son imaginaire sans se limiter et surtout ne pas se soucier si ce que l’on raconte est fidèle à la réalité. C’est un théâtre de liberté. Les dramaturges essaient de démontrer l’absurdité et l’insécurité de la condition humaine et de son existence. Inspirés par la guerre, ils dépeignent le comportement humain en temps de crise et l’incompréhension de l’époque. Dans le fond, ils traduisent donc le questionnement de leur époque, celle d’après-guerre où toutes les idées et les conceptions déjà existantes sont remises en question.

Conceptions théâtrales

Les dramaturges du théâtre de l’absurde veulent donc exposer sur scène une vision

en relation

  • Commentaire beckette-oh les beaux jours acte i première scène
    1299 mots | 6 pages
  • Rhinocéros, démontrer le phénomère de massification
    976 mots | 4 pages
  • Le roi se meurt, ionesco ; dénouement - commentaire
    465 mots | 2 pages
  • Fin de partie absurde
    292 mots | 2 pages
  • Le théâtre, lieu de liberté selon ionesco.
    1668 mots | 7 pages
  • Rhinocéros
    1159 mots | 5 pages
  • Le roi se meurt
    1330 mots | 6 pages
  • Le théâtre est-il un lieu de libertés ?
    493 mots | 2 pages
  • figures de style frcs
    478 mots | 2 pages
  • lolilol
    323 mots | 2 pages
  • "Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. il n'y a pas que la parole." ionesco
    978 mots | 4 pages
  • Eugène ionesco
    306 mots | 2 pages
  • Pensez vous que le théâtre ... folle
    697 mots | 3 pages
  • Libéralisme
    1572 mots | 7 pages
  • 4
    796 mots | 4 pages