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Le modèle écologique des femmes victimes de violence
L’ontosystème :
Pour l’ontosystème de la femme violentée, les deux facteurs que j’ai choisis, qui pourraient la mettre plus à risque de violence, seraient son handicap et son orientation sexuelle. Premièrement, une femme a déjà plus de chances d’être victime de violences qu’un homme. Alors, imaginer les chances qu’une femme avec un handicap puisse subir de la violence qu’elle soit psychologique, sexuelle ou même physique. Elles sont énormes! 83 % des femmes handicapées sont victime de violences sexuelles au cours de leur vie. Cette statistique est seulement pour la violence sexuelle. Des tonnes et des tonnes de statistiques peuvent nous démontrer la violence que ces femmes subissent. Une citation tirée de l’argumentaire pour les 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes nous prouve que les femmes possédant un handicap sont, effectivement, plus vulnérable que les femmes n’en ayant pas :<< Être une femme en situation d’handicap peut accroître la vulnérabilité face à la violence à toutes les étapes de sa vie, tout simplement parce qu’elle est une femme et qu’elle est handicapée. >> Ensuite, les femmes homosexuelles ou bisexuelles sont tout autant à risque que les femmes handicapées. En effet, beaucoup de préjugés sont encore présents à l’égard de ces femmes ou même de ces hommes. Ce n’est pas un choix volontaire d’avoir une orientation sexuelle autre qu’hétérosexuel, on leur a imposée dès leur naissance. Certains le cache, mais d'autres le montre ouvertement. Ces derniers sont souvent victime de violences à cause des préjugés portés envers eux :<< Des préjugés tenaces, des comportements discriminatoires et des actes de violence persistent encore particulièrement à l’endroit des lesbiennes. >>
Microsystème :
Pour le microsystème, les deux facteurs de risque sont leurs relations avec leur conjoint et leurs relations avec leur employeur. Pour commencer, dans toutes