Activité physique les effets sur la santé
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S’entraîner pour survivre Depuis le début des années 2000, des milliers de québécois ont commencé la pratique de la course à pied. Ceci en fait l’activité physique ayant connu la plus forte croissance en terme de participants. Ce sport avait déjà connu des sommets de popularités au cours des années 1970 pour son attrait compétitif mais ce nouvel engouement pour la course est plutôt motivé par la santé. En effet, une étude publiée dans le magazine Newsweek au début des années 1970 avait d’ailleurs dévoilée que la course était le 3e sport offrant le plus d’effets bénéfiques au coeur, uniquement devancé par le ski de fond et la natation1 . Mais quels sont ces effets bénéfiques? En voici quelques un. 1. Diminution des maladies cardiovasculaires: D’après une étude menée sur 150 000 individus, l’activité physique abaisserait le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires, tant chez les femmes que chez les hommes, de l’ordre de 20 % à 50 %2. De plus, l’activité physique sur de longue période, mais à faible intensité, permettrait de diminué le taux de mauvais cholestérol LDL. Les médecins prescrivent donc souvent à leur patient à risque de pratiquer ce genre de sports (ex: natation, vélo, course, etc). 2. Prévention du diabète: Selon cette même étude, la pratique assidue de l’activité physique peut aider à prévenir le diabète et améliorer l’état de personnes atteintes de maladies métaboliques. Chez les patients qui souffrent déjà de la maladie, deux heures de marche par semaine suffiraient à réduire d’environ 50 % le risque de mourir prématurément des suites de cette affection.
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Cloutier, Jean-Yves. 2011. Courir au bon rythme. Livre imprimé. Montréal: Les éditions LaPresse.
Pierre Lefrançois. 2006. Bouger, c’est la santé: des preuves. En ligne» http://www.passeportsante.net/fr/ Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2006032268.
3. Prévention de la dégénération musculaire: Selon une autre étude publiée dans la Standard Life 3, les individus sédentaires