Adamn smith livre i
Tout d'abord Adam Smith nous replace dans une situation temporellement différente de notre époque en employant : « cet état primitif et rudimentaire de la société ». Ils nous précisent que dans cet état peu évolué, un état sommaire et laconique, seul « la proportion entre les quantités de travail nécessaires pour acquérir les différents objets soit la seule circonstance qui puisse fournir une règle pour les échanger les uns contre les autres ». Mais que désigne cet état sommaire ?
Smith nous met sur la voie en évoquant la non existence de la propriété foncière et du capital. C'est un état initial de notre société. On peux penser à l'Etat de nature (hypothétique) chez Rousseau.
Ce que Smith nous dit ici, c'est qu'il paraîtrait que ces hommes ancestraux qui peuplaient alors la terre à cet époque ci, avaient pour seule et unique précepte, norme d'échange à l'élaboration d'une valeur commune de l'objet, le temps dépenser à la réalisation de l'objet : la valeur est une convention. Aujourd’hui l'instrument d'échange est la monnaie. Pour clarifier Smith illustre sa phrase par l'exemple du castor.
En effet s'il met deux fois plus ardu de tuer un éléphant qu'un zèbre, il est légitime pour ainsi dire normal que je puisse échanger l’éléphant contre deux serfs. Aujourd'hui encore cette règle s'applique (pas au pieds de la lettre) à quelque produit par exemple une chaise fabriqué à la main vaut plus