Introduction:

Au XVIIé, les philosophes s'engagent dans la lutte contre l’intolérance, le pouvoir absolu et les croyances ; selon les Lumières, il faut avoir du courage contre ce pouvoir absolu et ces croyances : Mais pourquoi ? I) En premier lieu, à l'époque, la monarchie absolue est un système qui prive les sujets de liberté de façon arbitraire. C'est pourquoi à l'époque, le peuple était sous l'autorité du roi, et nul n'avait le droit d'exprimer ce qu'il voulait, et surtout pas son opinion, sur des choses diverses. Le roi était totalement hostile à la liberté de pensée. Louis XV était au pouvoir, quand Candide fut édité, et c'était un roi naïf. Ici, Voltaire nous fait part de nombreuse critiques politiques.
Par exemple, au chapitre XIX, le juge profite de l'argent de Candide, et se contrefiche des malheurs qui lui sont arrivés :
« Le juge commença à lui faire payer dix mille […] pour les frais d'audience ». Nous pouvons constater ici, qu'il s'agit d'une critique judiciaire.
Mais Voltaire souligne également le pouvoir du clergé :
« Quoi ? Vous n'avez pas de moines qui enseignent, qui disputent, qui gouverne. »

Dans le chapitre III, Voltaire critique l’Église : nous avons à faire a des soldats qui chantent le ' Te-Deum' (chant religieux) après un massacre ! Il s'agit là d'un problème...
Pourquoi chanter le 'Te-Deum' pendant une guerre ?
A l'origine, ce chant est chanté le Dimanche, ou alors en cas d'occasion festives, comme les processions, ou les victoires.
→ Autre exemple, dans ce même chapitre, Candide croit que le pape est antéchrists ; par conséquence, l'homme refuse de lui donner du pain : « ô Ciel ! à quel excès se porte le zèle de la religion dans les dames ! »

Entre les idées du raisonnement du roi et de l'église, les paysans avaient des idées reçus ? Leurs idées étaient souvent influencées par le règne royal. L'ignorance des paysans les poussaient à croire que tout ce qui était étrange ou étonnant étaient dangereux.