Aina Citroen
Le secteur automobile est en pleine révolution, Citroën innove, impose des prix bas et des véhicules à la fois fait pour le loisir et pour le travail. La marque mise sur le marketing et surtout communication. Malgré son investissement dans ces deux domaines, Citroën tombe en faillite et sans faire attention à ce que lui rapportent ses produits, l’entreprise finit par être mis en liquidation judiciaire en 1934 lorsque les banques et investisseurs décident de ne plus suivre. L’actionnaire majoritaire Pierre Michelin qui va devenir gestionnaire pour succéder André Citroën en 1935.
Fin des années 1934, Citroën quitte la direction de son entreprise, toute l’équipe dirigeante est totalement modifiée, un nouveau système de contrôle de gestion et de réductions des dépenses est instauré. Michelin prend le contrôle, il a pour but de rembourser les dettes laissées par André Citroën, Michelin s’efforce également de régler les problèmes de qualité dans la fabrication (mise en place d’ateliers spécial pour certaines fabrications délicats ect…). La marque préfère rester discrète, de moins en moins dans la presse, moins d’investissement dans la publicité et dans le marketing, celle-ci se concentre sur les innovations technologiques. L’innovation fait partie de l’héritage de Citroën, la marque a lancé des modèles révolutionnaires, comme la Traction Avant, la 2CV ou la DS qui font aujourd’hui partie du patrimoine automobile français et international,
Au cœur de l’identité technologique de Citroën, la marque se développe, Citroën lance plusieurs modèles, dont certains qui ont marqué les esprits, tout d’abord la sortie de la TYPE A en 1919-1921, étant la première voiture de grande série à conduite facile. La traction a été le dernier pari de Citröen, mais elle a aussi été la première création d’André Lefebvre, commercialisée de 1934 à 1957, fruit du dessinateur sculpteur Flaminio Bertoni et du génie technique