Alain, Alain, Alain
On observe cette fureur, quand il est question de près ou de loin, de Madeleine et de son amant : « Je rentre, de crainte qu'on ne voie que je les vois. Puis les larmes coulent. Je sanglote et j'ai le goût de tuer, de pulvériser. Ah ! je ne savais pas qu'elle pouvait encore m'assassiner » …afficher plus de contenu…
Ici, on fait face à une belle répétition qui appuie encore plus le sentiment de mal-être causé par l'éclatement de son mariage. La répétition y est claire, on retrouve trois fois le même groupe de mots « Je ne veux plus » ce qui intensifie encore plus l'état dans lequel il se trouve. Il n'y arrive plus, il n'a plus les épaules pour supporter tout cela. Il dit stop, c'est assez. On peut même en faire un parallèle avec un marteau et un clou. En effet, le fait de répéter, « Je ne veux plus » ajoute de l'intensité et de la profondeur au propos. On y rajoute une couche à chaque fois comme un clou que l'on martèle avec un marteau. On remarque aussi ce désespoir dans la phrase : « Je crois que même la présence de Madeleine devant moi, me souriant, ne guérirait pas la répugnance qui m'a gagné » (p.148). Ici, on fait face à une personnification. En effet, même si le personnage principal est médecin, cela ne lui donne pas le pouvoir à lui et à ses