Albert camus
Albert Camus, dans cet extrait de L’Etranger évoque l’étrangeté et la particularité de Meursault. Tout d’abord, le champ lexical de la mer(« un océan de métal bouillant » l5) ou encore (« une plage vibrante de soleil » l10), du soleil et de la lumière : « même soleil, même lumière » (l1et2), « la brulure du soleil » (l15), « le même soleil » (l16 et 17), «la lumière a giclé » (l25), « les cymbales du soleil sur mon front » (l32), « pleuvoir du feu » (l38). L’ensemble de ces champs lexicaux et de toutes ces métaphores autour du soleil, de la chaleur, de la lumière et de la mer lui évoque une sensation de mal être comme le montre les lignes 20 à 23 : « j’ai fait un mouvement en avant, je savais que c’était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil d’un pas » ou encore la ligne 30 : « mes yeux étaient aveuglés derrière se rideau de larmes et de sel » De plus, à travers le récit de Meursault, la mer lui évoque le bonheur et la tranquillité (exemple lors des retrouvailles avec Marie, ou, le jour du diner chez Macon et sa femme en compagnie de