Albert camus
Il naît en Algérie dans la ville de Mondovi le 7 Novembre 1913. Son père est ouvrier agricole et sa mère une servante. Son père est mobilisé durant la première guerre moniale, il y meurt, suite à cela ils déménagent dans les quartiers populaire (pauvre) d’Alger. Grâce à son instituteur (M. Germain) il obtient une bourse pour entrée au lycée. Au lycée il découvre le football et la philosophie, après le BAC il poursuit donc des études en philosophies.
Durant l’année du BAC il publie des articles dans les revues pour les étudiants. Il se mari en 1934. En 1936, il est diplômé d'Etudes Supérieures de philosophie, il fonde « le Théâtre du Travail » où il y écrit avec 3 amis « Révolte dans les Asturies », une pièce qui sera interdite. Il joue et adapte de nombreuses pièces : « Le temps du mépris » d'André Malraux, « Les Bas-Fonds » de Gorki, « Les frères Karamazov » de Dostoïevski.
En 1938, il devient journaliste à « Alger-Républicain » où il est notamment chargé de rendre compte des procès politiques algériens. La situation est tendu en Algérie, alors il décide de partir pour Paris, là il est employé à « Paris-Soir ». En 1942, il milite avec les jeunes et publie des articles dans « Combat » (qui deviendra un journal par la suite). C’est en cette même année qu’il publie « l'Etranger » et « le Mythe de Sisyphe » (chez Gallimard). Il connaît alors un grand succès.
En 1944, Jean-Paul Sartre souhaiterait qu'il mette en scène « Huis Clos », les deux philosophes entretiennent alors des rapports amicaux. En 1947, il publie « La Peste » suite à ce nouveau succès il quitte « Combat ».
En 1951, la publication de « l'Homme Révolté » entrainent une vague de critiques d’une part des surréalistes (mouvement artistique fut fondé à Paris en 1924 par le critique et poète André Breton, avec la publication de son "Manifeste". Il est caractérisé par l'intervention du rêve et de l'automatisme psychique dans la création et le refus de la logique).