Albert de camus, le procès de l'étranger
Deux axe de lecture constituerons notre étude, le premier justice et comédie et le second Meursault mis hors-jeu (il est réduit a zéro).
Dans un premier temps, il faut rappeler une mise en scène de l’avocat ensuite de l’opposition du jeu et la réalité.
I-Justice et comédie
A / les rideaux se lèvent
L’auteur nous décrit cette salle du palais de justice comme si nous assistions à un opéra, à un spectacle. Nous pouvons sentir l’impatience des jurés qui agitent leurs éventails multicolores comme le ferrait des jeunes filles ayant hâte d’assister a la représentation d’un grand « ténor », d’ailleurs un des « ténors » de la cours prend la parole, il est rentré dans la peau de son personnage : l’accusé.
B/mise en scène de l’avocat
L’avocat est comme un acteur, qui aurait appris son texte pour déclamer avec le plus d’éloquence et d’assurance sa tirade. Il doit toucher avec talent, le point sensible des jurés, son