Alcoolisme
Le concept d’addiction, qui s’impose peu à peu depuis une dizaine d’années, réunit dans un même champ sémantique les conduite susceptibles d’entrainer une dépendance et ou le conduites d’abus.
Il intègre donc la question de l’alcool, mettant fin au traitement séparé de l’alcoolisme et de la toxicomanie, font partie de cette histoire et sont, aujourd’hui, chargés de stigmatisation et d’ambigüités. Pour autant ce concept d’addiction ne résout pas tous les problèmes et en soulevée nouveaux notamment quant aux spécificités des différentes conduites additives, en particulier celles qui concernent le produit le plus étroitement lié à notre culture : l’alcool.
L’alcool une drogue pas comme les autres : Le comportement de consommation le plus socialement admit : consommer de l’alcool. Cette consommation comporte un volet de dangerosité bien plus important que celui de beaucoup de substance illicite (risque additif, risque toxique, risque psychique, risque social…).
Parmi les difficultés à admettre l’alcool dans le champ des drogues, il y a le fait qu’il nous est très familier. Pour la plupart d’entre nous, en effet l’alcool est une vieille connaissance ; nous y avons tous gouté nous en consommons occasionnellement ou régulièrement, sans problème le plus souvent.
Nous ne somme donc pas naïf vis-à-vis de l’alcool comme nous pouvons l’être vis-à-vis d’autres substances psycho actives. Chacun à, avec l’alcool, une histoire, le plus souvent simple, parfois chaotique, parfois même dramatique. Chacun connait la dimension familiale de l’usage de l’alcool (initiation, consommation sociale, fêtes…), sa dimension sociale. Personne ne peut prévoir (imaginer) que sa consommation pourrait un jour poser problème.
Mr B agé de 30 ans au chômage depuis 2 ans et en fin de droit, il aurait quitté spontanément son emploi de fraiseur comme de nombreux autre emploi auparavant.
La profession de fraiseur est une fonction assez contraignante et éprouvante dans la