Alexandrin, transformation d'un passage de ruy blas
S'approchant de sa belle, qui était la reine.
Ruy Blas mis genoux à terre, tant humilié.
Lui, rassurant sa dame, il n'émit pas de haine.
N'osant point avancer, de peur de la blesser.
Lui démontrant son honnêteté en son âme.
Refusant de se défendre pour cet amour.
Qu'il a perdu à jamais, et ce pour toujours.
Il renonce éperdument, à prendre les armes.
En cette journée, il a traversé la foule.
Pour ne demander, seule une chose insensée.
Luttant de toutes ses forces, contre la houle.
Son cœur à tout rompre, se faire pardonner.
Pour le mal qu'il a causé, dans un cœur penné.
Sa belle, en unique mouvement de recul.
Ce geste fut, pour qu'un cœur fragile bascule.
Détruit par son amour, de gestes dirigés.
Avançant dans la profondeur des ténèbres.
Il erra en un but définitivement.
Déterminé, vers la table en bois de cèdre.
Marchant instinctivement et rapidement.
Une fiole posée à l'endroit voulut.
Il prit, la porta à ses lèvres, et la vida.
Ma triste flamme, éteint toi, il en supplia.
Dame s'interrogea, totalement perdue.
Par quelques mots: «rien mes maux sont finis. Rien. Vous.
Me maudissez, et moi je vous bénis, voilà».
Sa majesté se souvenu donc du lieu où.
Devant lui, à genoux, sangloter elle alla.
La Reine s'interrogea sur cette fiole.
Alla pleurer celui qu'elle aimait tendrement.
Son bel amant qu'elle regrettait éperdument.
Pour celui qui lui a donné tant d'affrioles.
Lui pardonnant et avouant ses sentiments.
Il lui dévoila sa véritable identité.
Le mourant qui se vit enlacer doucement.
Par la beauté de sa dame, il fut envouté.
Il allait disparaître, dans ses bras, il crut
Vivre encore mais, il ne put que s'évanouir.
Dans un ultime soupir, la pria de fuir.
En cette dernière parole, il