Alfred de musset - les caprices de marianne - 1833 - 1833
5) Ce sont des répliques courtes. Ceci témoigne de la surprise de Tibia face à ce qu’il entend. ALFRED DE MUSSET – LES CAPRICES DE MARIANNE – 1833 ACTE 1 – SCENE 1 1ier mouvement Troisième analyse Claudio est paranoïaque 6) Les expressions « impudentes guitares ne cessent de murmurer », « voilà du monde qui pourrait nous entendre » suggèrent qu’aux yeux de Claudio, sa femme est coupable et la menace est partout. De soupçonneux, sa jalousie est devenue chronique et il va basculer dans la paranoïa. 7) On remarque aussi une ponctuation riche dans les répliques de Claudio. Ceci accélère son discours et montre l’agitation qui est en lui. 8) Dans « une odeur d’amant », « personne », « il y pleut », l’hyperbole se met au service du …afficher plus de contenu…
En effet, la question « Est-ce que vous pouvez empêcher qu’on donne des sérénades à votre femme ? » révèle que le décalage entre le valet et son maitre augmente. Tibia est terre à terre et ne voit pas comment les soupçons de son maitre pourraient être vrais. 13) Il essaie de ramener son maître à la raison en comparant l’infidélité de Marianne à sa propre débauche qui est impossible Transition Mais cette comparaison est détournée par Claudio dans son délire. ALFRED DE MUSSET – LES CAPRICES DE MARIANNE – 1833 ACTE 1 – SCENE 1 2ième mouvement S’ensuit un échange qui n’a pas de fil conducteur Première analyse 1) L’échange subit deux digressions. L’une sur la laideur de Tibia ; l’autre sur les cadeaux offerts à