Alice
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Alice version Tim BurtonLewis Carroll (1832-1898) s’inspirant de la vie d’un enfant rédigea l’un de ces plus grands chefs-d’œuvre : Alice au pays des merveilles. Cette œuvre est un conte de fée racontant l’histoire d’une fille, Alice, âgée de 10ans se retrouvant dans un monde qu’elle nommera « le pays des merveilles ». En 2009, Tim Burton née le 25 Août 1958, réalisateur Américain maître du fantastique, interpréta au cinéma une nouvelle version d’Alice au pays des merveilles. Alice n’est plus une petite fille de 10ans mais une adolescente de 19ans prêt à se marier, ce film n’est pas une réinterprétation de la première version d’Alice mais une suite « d’Alice au pays des merveilles », mais qu’en est-il du pays des merveilles ? Une merveille doit être une chose formidable, incroyable, alors qu’ici le pays des merveilles ressemble plus à un zoo, le chat bleue avec un grand sourire d’hypocrite ayant la magnifique capacité de se camoufler à volonté, la petite souris très tendu, la chenille bleue soit disant « remplie de sagesse » n’ayant aucune manière , le lapin blanc avec un œil rouge vérifiant le temps à chaque seconde, en plus de cela le chapelier fou, tout cela ressemble plus à un film d’horreur qu’à un conte de fée. Parlons maintenant d’Alice, dés le début, on remarque Adolescente à présente, commence déjà de se révolter en portant des bottes plus ou moins à la mode d’aujourd’hui, De plus Alice n’en fait qu’à sa tête et est assez rebelle, cela pourrait influencer les enfants dans le mauvais chemin. Alice n’est plus une gentille petite fille mais est à présent un assassin, devant affronter un monstre dragon, le jabberwocky. Parlons de l’histoire qui laisse les spectateurs dans un trou noir, les actions s’enchainent les unes après les autres passant d’un mariage forcée au pays des merveilles, laissant très peu de temps au spectateur afin de comprendre se qui se passe réellement car dans un film comme celui là, le spectateur doit pouvoir