Allo
Depuis le dévoilement de ce budget, une multitude de groupes de pression ont manifesté leur indignation face à cette hausse de frais de scolarité. Les points soulevés par ses groupes sont sans aucun doute d’une grande importance. Toute fois, nous ne croyons pas que la gratuité scolaire ou encore le gel des frais de scolarité soit une solution valable pour le Québec moderne.
Notre argumentation passera par les quelques points suivants. D’abord, nous comparerons les frais de scolarités universitaires québécois avec ceux d’autres États. Ensuite, nous analyserons l’état des finances québécoises. Toute foi, avant d’entrer dans le vif su sujet, nous jetterons un regard aux différents groupes de pression s’opposant à l’augmentation des frais de scolarité ainsi qu’à ce qu’ils défendent.
Groupes de pression
Nous remarquons que différents groupes ayant une crédibilité au sujet de la prochaine hausse des frais de scolarité se sont prononcés en faveur de la décision du ministre des Finances, Raymond Bachand, pour le budget provincial 2011-2012.
Premièrement, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), étant depuis longue date en faveur d’une plus grande contribution des étudiants pour l’éducation, félicite l’engagement du gouvernement libéral. Selon eux, « la priorité à l’éducation passe par une juste contribution de tous et par une répartition équitable du financement. » D'après une lettre ouverte écrite au public et aux membres de la Fédération.