Alphonse de lamartine

621 mots 3 pages
Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort àParis le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politiquefrançais, l'orateur d'exception qui proclama et dirigea la Deuxième République1. Il est l'une des plus grandes figures duromantisme en France.
Alphonse de Lamartine naît à Mâcon dans une famille de petite noblesse attachée au roi et à la religion catholique ; il passe son enfance en Bourgogne du sud, en particulier à Milly. Un temps en collège à Lyon, il poursuit son éducation àBelley, où il rencontre Aymond de Virieu. Après son retour à Mâcon, une aventure sentimentale avec une adolescente incite ses parents à le divertir de cette liaison précoce. « Une diversion naturelle [lui] était nécessaire »2 : ce fut un voyage en Italie, effectué en compagnie de Virieu et évoqué plus tard dans le roman Graziella. Après son voyage en Italie et une éphémère fonction militaire auprès de Louis XVIII, il revient en Bourgogne, où il mène une vie de jeune homme oisif et séducteur.
En octobre 1816, il rencontre Julie Charles à Aix-les-Bains et vit avec elle un amour tragique puisque Julie meurt en décembre 1817. Il écrit alors les poèmes des Méditations dont le recueil est publié en 1820 et obtient un grand succès3. Alphonse épouse Marianne-Elisa Birch, une jeune Anglaise, en 1820, et occupe des fonctions de secrétaire d'ambassade en Italie avant de démissionner en 1830. Il publie alors d'autres poèmes comme, en 1823, les Nouvelles Méditations poétiques et La Mort de Socrate, ou, en juin 1830, les Harmonies poétiques et religieuses après avoir été élu à l’Académie française en 18294.
En 1830, il entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme

en relation

  • Tocqueville, "Quinze jours dans le désert"
    577 mots | 3 pages
  • Alphonse allais
    541 mots | 3 pages
  • La justification de la saint barthélemy
    3090 mots | 13 pages
  • Alphonse mucha
    425 mots | 2 pages
  • ALomran Marakch
    10356 mots | 42 pages
  • Histoire de la justice au travers de procès célèbres
    7420 mots | 30 pages
  • Quinot - idiot
    423 mots | 2 pages
  • roi de navarre
    874 mots | 4 pages
  • Eglise et république (1870-1914)
    3201 mots | 13 pages
  • Cavour
    427 mots | 2 pages
  • Louis-philippe 1er
    817 mots | 4 pages
  • Commentaire de la charte constitutionnelle de 1830
    1565 mots | 7 pages
  • Enracinement REP
    2443 mots | 10 pages
  • Barbey d'aurevilly
    373 mots | 2 pages
  • Histoire
    487 mots | 2 pages