alternatives a la prison
Retention de sureté
En droit pénal français, la rétention de sûreté est une procédure visant à permettre le placement dans un centre socio-médico-judiciaire de sûreté, de prisonniers ayant exécuté leur peine mais présentant un risque très élevé de recidive parce qu’ils souffrent d’un trouble grave de la personnalité. Cette mesure est limitée aux condamnations pour les crimes les plus graves, en particulier les crimes sexuels et doit avoir été expressément prévue dans la décision de condamnation.
Cette procédure a été créée en 2008 , elle est donc assez recente
Photo d'un centre de sureté
Surveillance électronique
Le Royaume-Uni (plus précisément, l'Angleterre et le Pays de Galles) ont été pionniers dans l'utilisation de cette technologie.Celle-ci s'est largement répandue: en 2008, près de 20 000 adolescents âgés de 15 à 17 ans portaient un bracelet électronique, soit 40 % de plus qu'en 2005 Utilisé comme mesure alternative à l'emprisonnement, les mineurs âgés de plus de 10 ans peuvent y être soumis Toutefois, la moitié des 20 000 adolescents en question avaient soit cassé le bracelet, soit violé leur couvre-feu. La mehode n'est donc pas 100 % efficace...
En France cette technologie a été instauré en 2005 et élargi en 2008.Autrement dit, il ne s'agit pas simplement d'une alternative à l'incarcération, mais peut se poursuivre après la fin de la peine de prison.
Les enjeux technologiques associés sont relativement clairs même si leur solution n'est pas actuellement confirmée :
Inviolabilité : le bracelet ne doit pas pouvoir être facilement retiré ou désactivé.
Détectabilité : la puce doit pouvoir être facilement détectée par les autorités même depuis une grande distance.
Fiabilité : comme tout système électronique, la panne n'est pas exclue ; mais ses conséquences seraient sans doute mal perçues par le public.
Respect de