analyse capitalisme épisode 2
Plusieurs éditions du livre « La Richesse des nations » écrit en 1776 d’Adam Smith (père du Capitalisme) ont été publiées (visé au départ un public spécialisé, devenu par la suite un « best-seller »), ce livre devenu la bible d’un nouveau système économique.
Smith a été à l’économie ce que Newton a été aux sciences naturelles. Il a créé un principe moteur : des individus en interaction sur des marchés (outils physiques pour l’appliquer à l’économie). Les manuscrits de ce dernier malheureusement ont été brulés avant sa mort, seule sa grande théorie sur les sentiments moraux (expliquant les vertus communes à la base d’un capitalisme sain) ainsi que « The Wealth of Nations » ont survécus à cet autodafé.
Cet épisode du Capitalisme nous fait voyager à travers le monde tout en expliquant les éléments clés de ce testament tant adulé.
1. La division du travail
Une des caractéristiques de notre société est le très haut niveau de spécialisation des métiers, ce que prônait Smith. Le progrès économique est indissociable de la division du travail (pilier de l’économie de marché). Cependant une polémique a été mise de l’avant avec l’abrutissement des ouvriers, les mauvaises conditions de travail avec des taches mécaniques et monotones ou l’ouvrier n’a aucune chance d’améliorer son intelligence (exemple de l’usine d’Ipad en Chine à travers «l’exploitation du personnel»). Enjeu moral et dilemme entre la logique économique de la division du travail contre le coup humain nécessaire à la mise en œuvre de celle-ci.
Chacun est libre de transacter sous un effet d’asymétrie du pouvoir (pour une pme par rapport aux multinationales concernant le prix).
La division du travail a apporté plusieurs effets, elle permet une hausse de la production et de la productivité exemple notamment avec le Fordisme, la révolution industrielle repose sur un processus de travail avec des usines équipées en machines-outils (qui contrôlent le