Analyse chapitre 9 Pierre & Jean
Le roman Pierre & Jean se conclu sur le départ de Pierre sur le bateau « La Lorraine » et le mariage de Jean avec Mme Rosémily.
Chaque personne a une fois de plus une vision différente sur cette fin, pour certain elle est tragique, malheureuse et pour d'autres heureuse avec le mariage de Jean en premier plan.
Pour Pierre et sa mère, la fin est malheureuse et tragique, l'un s'en vas, laisse sa famille et l'autre perds son fils.
Pour Mme Roland, on a le champs lexical de la souffrance qui montre cette fin tragique « Je pleure », « j'ai mal », « la moitié de son coeur », « sa vie était finie ».
On a également le champ lexical de la disparition "allait", "fuyait", "disparaissait" qui fais ressortir le côter tragique du départ de Pierre au yeux de sa mère.
Mme Roland vit ce départ comme une mort: "il lui semblait que sa vie était finie".
Le lien maternel se renforce que à se moment du roman, à son départ elle prend conscience de son amour pour son enfant "son fils, son pauvre fils"
Elle a le sentiment qu'aucun espoir de retour n'est possible: « il lui semblait encore qu'elle ne reverrait jamais plus son enfant. »
Pour Pierre, il s'en va en prenant soins d'envoyer des baisers a sa mère, il ne peux lui donner son amour que par la distance.
Jean & Roland eux, voient la fin de manière heureuse.
M.Roland n'éprouve aucun sentiments spéciale, il s'émerveille pour le bateau: "Cristi! ça va vite" et ne ressens rien pour le départ de son fils, il ne comprend pas le chamboulement de la vie familiale, "Pourquoi pleures-tu?", il interroge sa femme sur ses sentiments qui pourraient être évident.
Il n'a pas évoluer au long de l'histoire, dans la phrase « Notre Jean » le possessif montre le possessif montre qu'il est le seul à n'avoir toujours pas deviné la vérité. Il apparaît, comme au chapitre 1, comme comme un personnage niais et ridicule.
Jean lui est heureux de son mariage est surement soulager du départs