Analyse contrôle de gestion sysmod
Situation de Sysmod avant l’intégration de Modules
La stratégie de Sysmod
On peut voir que la stratégie de Sysmod se base sur la décentralisation des responsabilités. Chaque branche est indépendante l’une de l’autre. Et au sein de la branche, l’homme fort est le chef de la branche qui répondra lui uniquement à la direction général du groupe. Nous avons ici une approche top-down, les chefs des différents projets et de division qui composent la branche répondront eux au chef de branche. Il y a donc bien un système très hiérarchisé. Chaque branche possède leur propre département (R&D, achats, contrôle financier et contrôle de gestion, etc.). La structure peut faire penser à une architecture de holding représenté par la direction général qui émet les directives et les objectifs à réaliser, et que chaque branche est une filiale de la holding. Cette structure a ses qualités et ses défauts. Comme qualité on peut avancer l’organisation hiérarchique et ainsi une claire délégation des responsabilités. Mais en défaut, on peut citer une sorte de cloisonnement des différentes branches. La branche éclairage par exemple ne sera pas au courant des projets de la branche thermique moteur, alors que les branches fournissent des pièces sûrement aux mêmes constructeurs automobiles. Ils ne communiquent pas entre elles et ne peuvent donc pas créer de synergie entre les différentes branches. Bien qu’ils disent qu’ils essaient de faire des synergies transversales en regroupant les achats par exemple, cela reste difficile. On peut citer l’exemple de la page 20, où la température sous le capot ruine l’électronique des phares alors qu’une autre branche de l’entreprise travaillait sur un moyen de faire baisser cette température sans que la branche éclairage ne le sache.
Il faut tout de même ajouter à cela certains points de divergence selon l’organisation explicité plus haut. Par exemple la division achat et la division contrôle financier et de gestion ont un pouvoir un peu