Analyse dancer in the dark
Table ronde (15%)
Dancer in the Dark de Lars von Trier (Danemark, 2000, 14min.)
1.Dancer in the dark est un film considérer comme étant très provocateur. Le réalisateur osera par le fait même, de montrer des scènes pouvant choquer le spectateur. À La fin du film, nous pouvons voir la condamnation à mort de Selma. Sa pendaison se fera sous nos yeux avec un tel réaliste que cela pourrais choquer certains. Si nous abordons sur le plan stylistique, nous retrouvons la caméra épaule pour donner un effet plus réaliste, plus vivant et plus touchant.
3. Dans ce chef d’œuvre, le réalisateur utilisera un procédé particulier, celui du film dans un film, une mise en abyme en quelque sorte en faisant référence avec la mélodie du bonheur. Lorsqu’un bruit, un retentissement qui pourrais animent l’imagination de Selma fait surface, celle-ci se met inévitablement à chanter. Selma fuis ces malheur quotidien dans le chant, dans la comédie musical. En chantant, elle se créer un monde imaginaire, un monde idéal dans lequel elle ne vit point malheureusement. Elle fuit la réalité pour pouvoir résister aux caprices de la vie. La première chanson du film est My favorite things. Cette chanson représente des petites choses qui illuminent sont quotidien. Même s’ils sont fort simples, ceux-ci aident à rendre la vie de Selma meilleur. On sent à travers cette chanson, qu’elle possède encore un cœur d’enfant, qu’elle est spontanée et simple.
4. Selon les divers environnements où l’on se retrouve, la qualité de l’image change. Lorsque nous nous retrouvons dans la réalité, au jour le jour, la vision de la caméra est très claire et on perçoit bien l’environnement aux alentours. Mais lorsqu’on tombe dans ses rêves, dans ses chimères, la vision semble alors se transformer. Elle devient un peu flou, une vision pas très nette et précise. La camera devient aussi une caméra épaule lorsqu’on change d’univers. Ensuite, lorsque nous sommes dans l’imaginaire de