Analyse de Le poète s'en va dans le champs
« le poète s’en va dans les champs »
Le poète s'en va dans les champs ; il admire,
Il adore ; il écoute en lui-même une lyre ;
Et le voyant venir, les fleurs, toutes les fleurs,
Celles qui des rubis font pâlir les couleurs,
Celles qui des paons même éclipseraient les queues,
Les petites fleurs d'or, les petites fleurs bleues,
Prennent, pour l'accueillir agitant leurs bouquets,
De petits airs penchés ou de grands airs coquets,
Et, familièrement, car cela sied aux belles :
- Tiens ! c'est notre amoureux qui passe ! disent-elles.
Et, pleins de jour et d'ombre et de confuses voix,
Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois,
Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables,
Les saules tout ridés, les chênes vénérables,
L'orme au branchage noir, de mousse appesanti,
Comme les ulémas quand paraît le muphti,
Lui font de grands saluts et courbent jusqu'à terre
Leurs têtes de feuillée et leurs barbes de lierre,
Contemplent de son front la sereine lueur,
Et murmurent tout bas : C'est lui ! c'est le rêveur !
Le XIVe siècle a été inspire par leur détermination d’évoquer les émotions reprîmes dans l’époque classiciste. On peut dire que la catharsis attendue a été un peu insuffisante parce que une certaine tristesse sans raison a marqué le mouvement Romantique. Cette mélancolie en collaboration avec autres sources d’inspiration comme, la description tragique de la beauté, la nature et l’obsession avec les émotions personnelles ont été très important. Dans cette analyse, le but est de déterminer comment ces sources d’inspiration se manifestent et se répètent dans l’ouvre « le poète s’en va dans les champs » écrit par Victor Hugo et comme son utilisation fonctionne pour exprimer certains idées plus grandes environ la vie en générale.
Le poème a une structure intéressant et particulaire. Il est évident que il y a une manque des pauses, il n’y a pas des césures pour créer des strophes. Il n’y a pas