Analyse de pratique en cardiologie
La situation que je vais vous présenté se déroule dans le service de cardiologie dans lequel mon stage se déroule. Elle concerne un patient, Monsieur K. âgé de 75, une infirmière une aide-soignante et moi-même. Une nuit, après la fin des transmissions par l’équipe de jour, monsieur K., patient admis lors de son sommeil dans le service de cardiologie, entrée le jour même s’est réveillé très agité. En effet ce patient hurlait dans le service, et sollicitait vivement l’équipe soignante, pour nous dire qu’il souhaitait rentrer chez lui, qu’il ne savait pas pourquoi il était hospitalisé. Son agitation s’accrue au fil de la nuit. Surpris de faire face à une telle situation, je regardai dans son dossier médical afin de répondre à son questionnement. Dans le dossier médical de Monsieur K., il était dit qu’il est arrivé aux urgences, accompagnée des sapeurs pompiers, pour dyspnée et douleur à type d’oppression le 21 avril 2013 à 19h. Très agité, il est difficile pour l’équipe soignante de mettre en place une prise en charge. Son comportement est donc signalé au médecin des urgences qui décide donc Le médecin des urgences décide donc de lui injecté de l’ATARAX® 50 mg (Anxiolytique utilisé également comme tranquillisant) en intraveineux lent et s’endors. Une fois que le patient retrouve ses esprits, il se réveille en service de cardiologie aux alentours de 22 heures 30 et complètement agité. Lors des transmissions auxquelles j’assiste, il nous ait alors transmis par les infirmières de jours l’arrivée de Monsieur K. ainsi que ses antécédents et son motif d’hospitalisations. Mon interrogation traite donc sur la nécessité l’accueil en