ANALYSE DE PRATIQUE

La situation que j’ai choisi de présenter est la mise en place d’une contention chez Mme G., une patiente âgée de 87 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer et est porteuse d’une BMR urinaire, cette patiente est entrée pour une fracture diaphysaire du fémur droit sur matériel. Cette situation m’a fait me questionner sur ma pratique professionnelle et sur le fait de respecter ou non la prescription du médecin de contentionner Mme G. Le médecin a jugé que la contention allée être installée pour le bien de la patiente cependant je ne trouve cette méthode convenable pour Mme G. même si celle-ci est démente. Je vais donc me questionner et réfléchir sur le bénéfice/risque de la contention sur cette dame. J’ai commencé par réfléchir aux risques auxquels que Mme G. pourrait être confrontés. Le principal risque est celui de chute, Mme G. étant démente, a tendance à vouloir se lever seule chose qu’elle ne peut actuellement pas faire, elle se met donc inconsciemment en danger, elle pourrait chuter ou se refracturer. Ce qui pourrait entrainer des complications, car de plus Mme G. en se mobilisant de cette sorte ne respecte pas l’interdiction d’appui. Le risque de chute est très présent dans cette situation mais ce n’est pas le seul, le risque d’infection est aussi présent. Mme G. est porteuse d’une voie veineuse qu’elle a tendance à arracher une à plusieurs fois par jour, étant démente et incontinente, elle a tendance à toucher sa protection qui est souillée par de l’urine dans lesquelles il y a la présence d’une BMR et par des selles, en mettant en contact ses mains souillées avec le point de ponction, elle risque d’attraper une infection, ce risque s’explique également car elle arrache aussi son pansement et ensuite toujours avec ses mains souillées, elle touche sa plaie. Les urines étant infectées par un Escherichia coli, il y a un énorme risque d’infection. La contention dans ce cas permet à Mme G. d’être en sécurité que ce soit au