ANALYSE DE PRATIQUE
Présentation de la situation: Ma situation se déroule dans un service fermé de psychiatrie et plus particulièrement dans une chambre d'isolement. Un patient fut mis sous décision médicale en chambre d'isolement suite à un épisode hétéroagressif. Une injection de 3ampoules de Tercian lui fut administré en intra-musculaire par l'infirmière (neuroleptique: traitement de courte duré des états d'agitation et d'agressivité). Cette injection est du coup venue interferée avec une autre injection prévu depuis plusieurs semaines: une injection de neuroleptique à action prolongé (NAP): Risperdal Consta, qui fut donc repoussé au lendemain. Le lendemain arrive et je me propose pour effectuer l'injection de NAP, ce qui est accepté par l'infirmière. Le patient étant potentiellement agressif, deux infirmiers des services de psychiatrie alentour fûrent apellés, en plus des 2 infirmiers, d'une l'infirmière, d'un étudiant IDE et du cadre de santé déjà présent dans l'unité . Je prépare donc mon injection en me référant à la préscription, en ne prenant pas délibérément mon conténair à aiguille (celle-ci étant sécurisé) en accord avec l'IDE. A l'arrivé dans la chambre d'isolement, celle-ci me semble plus petite et il y fesait très chaud. Notre intervention fut expliqué par le cadre du service, le patient s'alonge alors sur le sol pour recevoir son injection. Je m'accroupi au niveau de son flanc gauche, pose mon plateau sur ma droite et réalise mon injection en m'adaptant pour respecter aux mieux les régles d'asepsie et d'hygiène. Pendant mon soin je prévient le patient de mes actes, et l'informe des éventuelles douleurs. Une fois le soin effectué nous laissons le patient se reposer, et je m'en vais traçer mon soins. A la fin de mon intervention le cadre me dit " et bien ont diraient que tu a fait ça toute ta vie!". Plusieurs choses me donne envie de décrire cette situation: - le contexte de possible agressivité de la part du patient -