analyse de pratique
Durant mon stage, j’ai observé la mise en contention de MONSIEUR L âgée de 19 ans.
Hospitalisé pour ses multiplies crises clastiques qui sont violentes, auto et hétéro agressif, sans que l’équipe soignante comprennent le facteur déclenchant.
C’est un patient suivi depuis son tout jeune âge, qui fut délaissé par sa mère qui s’occupait de ses deux autres fils car elle avait peur de lui, qui avait montré auparavant cette violence envers elle.
Des infirmières on supposer que dans son enfance, il a manqué de tendresse et d’amour de la part de sa mère. Ce qui peut signifier qu’il n’est pas passé par tous les étapes de l’enfance comme l’indique le concept d’ŒDIPE. Le lien mère/enfant ne s’est pas fait ce qui n’a pas permis à l’enfant de grandir, il s’est directement détaché de sa mère.
La mise en contention s’est passé un soir quand tous les patients étaient remontés du rez de chausser, le patient un commencé à se refermer, s’énerver, sans facteur apparent. Dans un premier temps une infirmière à essayer de le calmer, de l’apaiser en lui proposant son doudou, ce qui a marcher. Puis 10 minutes plus tard, il casse la fenêtre de sa chambre et toute l’équipe soignante décide d’aller le voir et de le mettre en contention pour le protégé ainsi que les soignants et les autres patients. Il a fallu le porter de sa chambre « normal » à l’une des chambres d’apaisements .Ces deux chambres d’isolement se trouvent à proximité du bureau infirmier et de la salle de soins. Un sas de sécurité nous permet d’accéder aux deux chambres. Deux portes nous permettent de rentrer dans le sas. L’une donne sur la salle de soins et l’autre sur