Analyse de l'attrape-coeurs
Entre autre, l’industrie du divertissement fait partie de la critique sociale que fait Holden. En premier lieu, Holden Caulfield critique le cinéma, qui fait partie de l’industrie du divertissement. En effet, il y fait partie puisque le cinéma est un lieu qui aide à nous divertir par l’entremise d’une œuvre cinématographique. On retrouve cette critique, par exemple, quand il est écrit : «Mais quelqu’un qui veut y aller (au cinéma), et même marche à toute pompe pour y arriver le plus vite, ça me démolit. (p.142) ». Ici, nous pouvons observer un ton comique. Plus précisément, il y a un ton satirique. Avec cela, il tente de se moquer des gens qui veulent absolument aller au cinéma, donc il critique l’importance que les gens accordent au cinéma. Ensuite, Holden Caulfield critique le théâtre, qui fait partie de l’industrie du divertissement. Il y fait partie puisque le théâtre est une représentation que nous donnent des acteurs pour nous divertir à travers une histoire. Notamment, nous voyons cette critique quand Holden dit : « […] j’aime pas beaucoup le théâtre. C’est pas aussi dégueulasse que le cinéma, mais y a vraiment pas de quoi s’extasier. (p. 143)» Nous pouvons alors voir un ton ironique dans cette citation. L’ironie lui sert à banaliser l’intérêt des gens pour le théâtre. Il critique donc son importance et même son existence. Bref, nous pouvons voir que Holden critique le cinéma et le théâtre, qui sont reliés à l’industrie du divertissement. Alors, la présence d’une critique du divertissement prouve qu’il y a une critique sociale dans le discours de Holden.
D’autre part, Holden parle beaucoup de l’effet de la richesse, qui fait partie de sa critique sociale. D’un côté, il critique l’effet de l’argent sur la personnalité d’un individu. En effet, la personnalité d’un individu caractérise sa façon d’être. C’est une variable qui peut changer dépendamment de