1) La barrière à l’entrée sont des rigidités structurelles du secteur qui oblige les entreprises qui souhaitent entrée dans le secteur à réaliser des investissement importants avant d’arriver à l’équilibre et à la rentabilité que l’on attend des nouveaux entrants. Ces barrières à l’entrée peuvent être des besoins en capitaux, des coûts de transfert, des économies d’échelle, l’accès à des services de distribution, l’existante de brevet et la capacité d’entreprise déjà présente dans le secteur à exercer des représailles pour empêcher les nouveaux d’entrée. Si les nouveaux entrants sont des entreprises étrangères, les barrières peuvent venir des subventions publiques accordées aux entreprises nationales qui bénéficient de la préférence nationale des autorités publiques.
L’économie d’échelle est une diminution du coût global d’un produit du fait de la répartition des coûts fixes sur une production plus importante
2) Les sources de l’avantage concurrentielles viennent de ses compétences de sa place sur le marché, de son degré de maitrise de l’approvisionnement, de la distribution et du porte feuille de technologie qu’elles maitrisent.
3) Les offreurs de produit de substitution constituent une menace dans la mesure ou ils peuvent capter la clientèle de l’entreprise grâce à un rapport qualité prix qui est jugé supérieur par les demandeurs dans la mesure ou les produits de substitution. Leur position sur le marché est plus adaptée aux évolutions de l’environnement.
4) l’Etat occupe une place spécifique à différents titres, tout d’abord il joue un rôle de régulation du marché grâce aux règles législatives, il a le rôle de producteur quand il s’agit des entreprises publics, il est aussi acheteurs et il est toujours l’unique acheteur dans les situations de monopsone( une demandeur plusieurs offreur : secteur militaire), l’état aide aussi aux investissement soit par des règle direct soit par une fiscalité incitatives et pour financer les revenues de transfert des impôts