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Analyse du film loin du paradis avec l'éthique de kant et l'éthique utilitariste

1528 mots 7 pages
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Présentation du problème moral Le problème moral qui se présente dans le film Loin du Paradis de Joseph Ruben, est un dilemme moral important basé sur les aspects psychologiques de l’être humain. En fait, c’est l’histoire de trois amis qui vont faire la fête en Malaisie. Alors que deux d’entres eux, Sheriff et Tony, décident de quitter et de retourner à la maison, l’un d’entre eux, Lewis, décide de rester sur les lieux. Par contre, Lewis se fait arrêter pour possession de drogue, qui en fait, appartenait aux trois d’entre eux. Après deux ans de prison, Lewis se voit détenu de la peine de mort, à moins que ses deux amis prennent part au blâme et qu’ils servent 3 à 6 ans de prison dans un pays du tiers monde. Sheriff et Tony se retrouvent donc dans un délai de quelques jours pour prendre la décision ou non d’aller en prison en Malaisie pour pouvoir sauver la vie de leur ami. Tony, de son côté, vient de se fiancer et compte former sa nouvelle famille. Il se voit donc en train de choisir entre sa famille ou la vie de son ami. Par contre, plusieurs facteurs entrent en jeu. Il pense notamment à la violence faite aux prisonniers, au manque de nourriture et aux conditions terribles d’une prison d’un pays du tiers monde. Il semble être prêt à faire trois ans de prison, mais ne cède pas du tout à l’idée de faire six ans de prison, si jamais Sheriff ne vient pas avec lui. Son intérêt individuel se tourne assurément vers sa famille, sa sécurité et son bien-être, d’autant plus qu’il désire aider son ami. Sheriff lui, vit une vie paisible avec une certaine attitude du laisser-faire. Il vit jour le jour, célibataire et ne détient pas de projets en particuliers. Lorsqu’il prend connaissance de la situation, il rejette l’idée d’aller passer du temps dans une prison en Malaisie. Par contre, sa culpabilité reste toujours à ses côtés. Même après avoir dit non, il semble revenir sur sa décision. Certainement, Sheriff a peur et il ne croit pas qu’il possède la force de se

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    Fuite vers la vérité Chapitre 1 : 4h30 : dans le grand jardin à côté de l’église, c’était silencieux. Les hommes avec les chiens étaient maintenant partis. Pendant presque une heure, ils l’ont cherché mais pas trouvé. C’était une bonne idée de mettre du poivre sur ses chaussures : ainsi, les chiens ont perdu sa trace.….

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  • Chronique judiciaire
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    CHRONIQUE JUDICIAIRE « Ce n’est pas tout à fait exact Mme la Présidente » Palais de justice de Paris Le public pénètre dans la salle. Les jurés, l’air grave, dossiers sous le bras, s’installent. 47ans, veste en cuir et menottes aux poignets Jamel, salut ses avocats et s’assoit.….

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  • Ou se perdent les hommes
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    Cela montre vraiment son opinion sur les détenus de la prison des Baumettes. L’inspecteur lui a un contact beaucoup moins « familier » et peut-être plus dur et plus violent voire brutal avec les détenus. Il a un avis, qui est donc plus dur et moins compréhensible envers eux. L’inspecteur pense que les prisonniers sont des personnes dangereuses et que si elles se trouvent en prison, ça n’est pas pour rien !….

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  • Si c'est un homme, primo levi
    631 mots | 3 pages

    Les hommes sur la couverture ont l’air tristes, fatigués et faibles. Les couleurs sont assez sobres, il y à du bleu, du gris, du blanc et du noir. Des couleurs sombres, qui peuvent montrer que la vie de ces hommes n’est pas facile. B. L’histoire L'auteur est arrêté en février 1944, en Italie, alors qu'il résistait. Il est envoyé Auschwitz, dans un camp de travail.….

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  • Si c'est un homme, primo levi, 1947, 1947
    611 mots | 3 pages

    Nombre de prisonniers ne parlent pas allemand, ils doivent donc apprendre à reconnaître leur numéro phonétiquement. III. Les enjeux de l’écriture autobiographique Ce texte a pour objectif de nous faire connaître la réalité de l’internement dans un camp d’extermination, la façon dont s’opère le passage de l’homme libre et civil, à celui de « sous-homme » captif et en danger de mort permanent. Il apparaît donc comme un témoignage historique important.….

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  • B Le camp d Auschwitz sa cr ation ses objectifs et ses cibles
    1580 mots | 7 pages

    les prisonniers mourir de faim. Des prisonniers était entassés dans des cellules durant toute la nuit, si petites qu'ils passaient la nuit debout. Certains ne survivaient pas à cette nuit, ou mourraient de fatigue le lendemain au travail. Les prisonniers qui n'étaient plus productifs étaient tués ; en 2 ans plus de la moitié des prisonniers polonais sont morts.….

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  • L'identé : a. maalouf et f. joignot
    341 mots | 2 pages

    « Les identités meutrières » de Amin Maalouf « Je n'est pas un » de Fredéric Joignot Ces 2 textes parlent des identités qui font ce que nous sommes. Ils expliquent que les idées reçues comme quoi nous ne possédons qu'une seule identité sont fausses.….

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  • La shoah - témoigange
    469 mots | 2 pages

    A - PREVENIR PENDANT LA GUERRE Pendant la guerre, de rares prisonniers arrivèrent à se sauver. Par subterfuges, en recevant de l’aide extérieur ou grâce à une combinaisons d’événement chanceux. Ces rescapés tentèrent d’avertir les populations de ce qui(il avaient vu et vécu, pour que les autres, ceux qui vivaient encore dans la douce ignorance, prennent conscience de ce que l’avenir allait leur réserver. Mais les gens refusèrent de croire ces survivants ou même de les écouter.….

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  • Article sur ce que j'appelle oubli
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    Ce dont je suis certain, en revanche, c'est qu'entre le moment de son arrivée et celui où les vigiles l'ont arrêté, personne n'aurait imaginé qu'il n'en sortirait pas. » Tout est dit dans le résumé, et tout est ressenti en lisant ce livre faisant part d'une violence humaine qu'a du surmonter le voleur, en le lisant nous éprouvons de la culpabilité à faire partie de cette société d'injustice. Ce court récit m'a bouleversée, m'a beaucoup questionnée, comment un homme peut mourir pour si peu?….

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  • Discrour frnaçais
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    Est-ce l'image que l'on veut donner à la France, je ne crois pas. Les détenus ont certes enfreint la loi cependant ils n'en sont pas moins des êtres humains. Le but de la prison, dans les textes de code de procédure pénale notamment, est de favoriser la réinsertion, l'emprisonnement doit permettre aux prisonniers de pouvoir se racheter une conduite ce n'est donc pas avec des conditions de vie aussi accablante qu'ils vont changer, au contraire ils se sentiront encore plus rejetés par la société et….

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    reprit le prisonnier. - Bon toute façon, je n'ai rien d'autre à faire vas-y mais gare à tes propos, répondit avec défiance le gardien. - Je comprend qu'on ne vous a pas bien traité mais pourquoi nous faire la même….

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    Oui j’ai tué le directeur des ateliers de ma prison, mais non je ne suis en aucun cas un meurtrier ni un fou. J’ai juste fait ce qui était en mon devoir. Il m’a privé de la seule chose que j’aimais, mon chère et tendre ami Albin. Je voulais faire comprendre que nous vivons dans une société remplis d’injustices, une société qui ne mérite même pas la peine de s’y intéressée. Je voulais me venger !….

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    Résumé Dans la prison de Bîcetre, un condamné à mort, dont on ne connaît ni l'identité, ni le crime commi, attend le jour de son éxécution. Jour àprés jour, il nous fait part de ses angoisses, ses espoirs et ses pensées. Il rappelle les circonstances de son procès, et décrit sa cellule. Desespéré, il décide de s'évader, mais c'est alors qu'on lui apprend que son éxécution aura lieu ce jour.….

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    Si il n'y aurait pas eu la peine de mort, même si les erreurs judiciaires aurait été quand même commise ils aurait pu être libérés. En effet il y a d'autre façon de punir les criminels. Comme la prison qui est un endroit qui permet aux coupables de réfléchir et de regretté leurs actes, ou aux innocents de voir ce qu'est la prison et de faire tout pour ne pas à avoir a y aller. De plus si il y a malheureusement une erreur judiciaire la conséquence serait moins grave que si il y avait eu peine de mort.….

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    Les seules condamnations à la prison ferme ces dernières années ont concerné des faits de violence avérée. Et de la prison prononcée à la prison effective, on connaît le grand écart dans notre pays… 2/ Le recours à la comparution immédiate dans le cas de Nicolas est une application limite de la législation car « la peine d’emprisonnement encourue doit être au moins égale à deux ans ; en cas de délit flagrant, cette peine d’emprisonnement doit être supérieure à six mois ; le prévenu ne peut être mineur et il ne peut s’agir d’un délit de presse, ni d’un délit politique, ni d’une infraction dont la procédure de poursuite est prévue par une loi spéciale. » Et c’est le Procureur de la République, donc le parquet soumis à l’autorité du garde des sceaux qui détient l’appréciation de la situation et l’initiative de cette procédure.….

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