analyse du mode de gestion dans uneorganisation
Au niveau de la production : l’assemblage présente une augmentation lente mais continue du nombre de rejet et de retour. Cette situation est plus prononcée sur la ligne de production ou est affecté l’employé Jean-Roch. La correction des rejets entraine des coûts supplémentaires jugés considérables.
Le suivi du control final laisse à désiré, certains produits défectueux échappent à ce service. C’est donc le client qui constate bien souvent la défectuosité de son appareil, ce qui entraine en plus des coûts, une diminution de la confiance de la clientèle.
Cette faiblesse est causée par un mode de gestion traditionnelle fondé sur la hiérarchie et supervision. La travail au niveau des quatre lignes d’assemblages est planifié et contrôlé sans tenir compte des employés à l’exécution. Ces derniers ne manifestent aucune volonté d’un travail bien fait. Pourtant ces employés bénéficient de conditions salariales comparables à la moyenne de l’industrie du secteur. Aussi, la construction et l’aménagement de l’usine sont récents. Les technologies sont comparables aux usines de la compagnie et les fournisseurs sont les même que deux autres usines. Ces conditions à elles seules ne suffisent pas à motiver les employés et les inciter à améliorer la qualité de l’assemblage. Par ailleurs, il y’a absence de facteur de motivation intrinsèques.
La source de la faiblesse est le mode de gestion autocratique fondé sur la hiérarchie. Le surintendant Léo Dupuis n’a pas confiance en ses subordonnés, il ne fait pas participer ses employés au processus décisionnel, il juge ses employés paresseux et sans ambition et il n’hésite pas à réprimander, d’ailleurs il a l’habitude d’avoir des chicanes. Pour s’assurer que le travail est bien fait il donne à ses contremaitres des instructions précises et leur impose ses méthodes et ses objectifs. Cette manière de procéder n’est pas des