Analyse Molière
Tout d’abord, commençons par l’acte premier scène 5 de L’avare, où Molière utilise la répétition, la satire et le comique de situation pour servir le comique. D’abord, l’auteur fait l’usage de la répétition comme procédé littéraire pour divertir le lecteur. Aux pages 30 à 32, Harpagon explique à Valère qu’il veut offrir sa fille Élise au seigneur Anselme. Lors de cette conversation, pour persuader Valère qu’Anselme est le meilleur prétendant pour sa fille, Harpagon utilise comme principal argument que ce seigneur accepte de l'épouser sans dot. Il répète sans cesse : « sans dot! » En écrivant cela, l’écrivain crée une répétition, qui insiste sur le fait qu’il n’accordera pas un seul sou au futur mari de sa fille. C’est cette répétition qui fait rire le lecteur. Il rit d’Harpagon, qui est pingre, au point de laisser sa fille aux mains du premier venu, qui ne lui réclamera pas de dot. Dans cette scène, Molière fait rire le lecteur en utilisant le côté avare d’Harpagon. L’auteur fait ressortir le fait qu’Harpagon ne veut aucunement dépenser de l’argent, et ce, même pour sa fille. Dans le même ordre d’idées, à l’acte III scène I, Molière fait une satire en riant de l’avidité d’Harpagon. Cela amène un comique de situation, qui fait rire le lecteur. Aux pages 57 et 58, Harpagon donne ses ordres pour le déroulement du buffet. Ses ordres font en sorte que ses employés devront donner un maximum